Rapport
Baromètre sur les usages d'écrans et les problématiques associées. Vague 3
Auteur(s) :
M. GERARD ;
P. H. BARTOLI ;
S. REICH ;
Y. BELAGHENE
Article en page(s) :
48 p.
Domaine :
Addictions sans produit / Addictions without drug
Langue(s) :
Français
Discipline :
EPI (Epidémiologie / Epidemiology)
Thésaurus géographique
FRANCE
Thésaurus mots-clés
ECRANS
;
JEUNE
;
ADOLESCENT
;
EVOLUTION
;
JEU VIDEO
;
ADDICTION
;
ABUS
;
INTERNET
;
TYPE D'USAGE
Résumé :
Pour la troisième année consécutive, l'édition 2023 du Baromètre MILDECA/Harris Interactive sur les usages d'écrans et les problématiques associées propose un panorama complet de ces usages et de leurs évolutions.
Comme les éditions précédentes, les pratiques numériques restent très présentes chez tous les Français, notamment chez les jeunes (15-24 ans). La seule hausse significative concerne les jeux d'argent et de hasard (JAH) qui progressent de 7 points entre 2021 et 2023 sur l'ensemble de la population. Questionnés pour la première fois dans cette édition 2023, 3 joueurs de jeux vidéo sur 10 déclarent avoir déjà réalisé des microtransactions.
Les usages quotidiens intensifs (plus de 4h par jour) concernent principalement les achats en ligne (18%), les jeux vidéo (16%), les jeux d'argent et de hasard (12%) et le visionnage de vidéos (11%) qui progressent légèrement depuis 2021. Ils concernent principalement les 15-25 ans pour les jeux videos et le streaming. Les catégories socioprofessionnelles supérieures déclarent des usages numériques plus fréquents que les autres, à l'exception des usages intensifs d'achats en ligne et de jeux d'argent et de hasard, qui sont plus fréquents parmi les catégories socioprofessionnelles inférieures.
Certains comportements numériques se rapprochent des conduites addictives, une grande majorité des Français déclarant passer plus de temps que prévu pour des activités ludiques (90% pour le visionnage de vidéos et 76% pour les jeux vidéos), ou encore pour travailler (77%). 50% déclarent reporter certaines de obligations professionnelles, scolaires ou privées en raison des écrans et une même proportion dit ne pas ne pas parvenir à diminuer ou arrêter leurs activités numériques alors qu'ils le souhaiteraient. Les 15-25 ans sont particulièrement concernés s'agissant des jeux vidéos, du visionnage de vidéos et des réseaux sociaux.
Plus d'un quart des répondants déclarent consommer plus de confiseries, sodas et snacks pendant ses activités numériques. C'est aussi le cas pour le tabac et d'alcool dans des proportions plus modestes.
Interrogés pour la première fois en 2023, plus de la moitié des Français estime que les influenceurs n'incitent ni ne dissuadent des conduites addictives. Ils sont néanmoins plus nombreux à déclarer que les influenceurs incitent, plutôt que dissuadent, aux paris sportifs (28%) et au vapotage (22%).
Comme les éditions précédentes, les pratiques numériques restent très présentes chez tous les Français, notamment chez les jeunes (15-24 ans). La seule hausse significative concerne les jeux d'argent et de hasard (JAH) qui progressent de 7 points entre 2021 et 2023 sur l'ensemble de la population. Questionnés pour la première fois dans cette édition 2023, 3 joueurs de jeux vidéo sur 10 déclarent avoir déjà réalisé des microtransactions.
Les usages quotidiens intensifs (plus de 4h par jour) concernent principalement les achats en ligne (18%), les jeux vidéo (16%), les jeux d'argent et de hasard (12%) et le visionnage de vidéos (11%) qui progressent légèrement depuis 2021. Ils concernent principalement les 15-25 ans pour les jeux videos et le streaming. Les catégories socioprofessionnelles supérieures déclarent des usages numériques plus fréquents que les autres, à l'exception des usages intensifs d'achats en ligne et de jeux d'argent et de hasard, qui sont plus fréquents parmi les catégories socioprofessionnelles inférieures.
Certains comportements numériques se rapprochent des conduites addictives, une grande majorité des Français déclarant passer plus de temps que prévu pour des activités ludiques (90% pour le visionnage de vidéos et 76% pour les jeux vidéos), ou encore pour travailler (77%). 50% déclarent reporter certaines de obligations professionnelles, scolaires ou privées en raison des écrans et une même proportion dit ne pas ne pas parvenir à diminuer ou arrêter leurs activités numériques alors qu'ils le souhaiteraient. Les 15-25 ans sont particulièrement concernés s'agissant des jeux vidéos, du visionnage de vidéos et des réseaux sociaux.
Plus d'un quart des répondants déclarent consommer plus de confiseries, sodas et snacks pendant ses activités numériques. C'est aussi le cas pour le tabac et d'alcool dans des proportions plus modestes.
Interrogés pour la première fois en 2023, plus de la moitié des Français estime que les influenceurs n'incitent ni ne dissuadent des conduites addictives. Ils sont néanmoins plus nombreux à déclarer que les influenceurs incitent, plutôt que dissuadent, aux paris sportifs (28%) et au vapotage (22%).
Autre(s) lien(s) :
Ludomag (06/10/2023)
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