Rapport
Les réseaux de structures d'Ile de France susceptibles d'héberger les toxicomanes infectés par le virus HIV. Enquête de recensement et d'optimisation
Auteur(s) :
PLURALIS
Article en page(s) :
117 p.
Domaine :
Drogues illicites / Illicit drugs
Langue(s) :
Français
Thésaurus mots-clés
SIDA
;
LOGEMENT
;
PRISE EN CHARGE
;
PREVENTION
;
APPARTEMENT THERAPEUTIQUE
;
POST CURE
Thésaurus géographique
ILE-DE-FRANCE
Résumé :
En France, les données épidémiologiques montrent une large pénétration de l'infection par le virus de l'immunodéficience humaine (VIH) dans la population toxicomane. L'Ile de France est particulièrement touchée par le phénomène et on peut s'attendre à devoir prendre en charge, au début des années 90 un grand nombre de toxicomanes séropositifs et malades. Ceci d'autant plus que l'évolution des connaissances sur la maladie amène à proposer une prise en charge médicale de plus en plus précocement après la primo-infection (extension des traitements antiviraux aux porteurs asymptomatiques - traitements préventifs précoces des infections opportunistes ... ).
La majorité de cette prise en charge peut être effectuée "en ambulatoire" (consultation, accueil, hospitalisation à domicile, hospitalisation de jour ... ).
Cependant, pour de nombreux toxicomanes, ce suivi est rendu délicat soit par la toxicomanie elle même, soit par des difficultés d'ordre social ou économique. C'est pourquoi, dans les années qui vont suivre, tant par l'accroissement du nombre de malades que par la probable sophistication des thérapeutiques, pour pouvoir offrir à tous les patients le même accès aux soins, il faudra un hébergement adapté et en quantité suffisante.
Ces structures d'hébergement (hors hospitalisation "aiguë") existent, certaines adaptées aux toxicomanes (centres de post-cure, familles d'accueil.), d'autres aux malades (maisons de convalescence... ) mais il est rapidement apparu aux différents professionnels concernés que cet hébergement était insuffisant en nombre et souvent non préparé voire inadapté à la prise en charge de toxicomanes infectés par le VIH.
C'est pourquoi l'association PLURALIS a proposé en 1988 une enquête sur l'hébergement des toxicomanes séropositifs en Ile de France. Cette enquête comprend un recensement des structures susceptibles d'héberger des toxicomanes infectés par le VIH et un travail d'analyse et de recherche sur site permettant d'évaluer les problèmes posés par la prise en charge des résidents et de proposer les moyens d'optimiser cette prise en charge. [Introduction]
La majorité de cette prise en charge peut être effectuée "en ambulatoire" (consultation, accueil, hospitalisation à domicile, hospitalisation de jour ... ).
Cependant, pour de nombreux toxicomanes, ce suivi est rendu délicat soit par la toxicomanie elle même, soit par des difficultés d'ordre social ou économique. C'est pourquoi, dans les années qui vont suivre, tant par l'accroissement du nombre de malades que par la probable sophistication des thérapeutiques, pour pouvoir offrir à tous les patients le même accès aux soins, il faudra un hébergement adapté et en quantité suffisante.
Ces structures d'hébergement (hors hospitalisation "aiguë") existent, certaines adaptées aux toxicomanes (centres de post-cure, familles d'accueil.), d'autres aux malades (maisons de convalescence... ) mais il est rapidement apparu aux différents professionnels concernés que cet hébergement était insuffisant en nombre et souvent non préparé voire inadapté à la prise en charge de toxicomanes infectés par le VIH.
C'est pourquoi l'association PLURALIS a proposé en 1988 une enquête sur l'hébergement des toxicomanes séropositifs en Ile de France. Cette enquête comprend un recensement des structures susceptibles d'héberger des toxicomanes infectés par le VIH et un travail d'analyse et de recherche sur site permettant d'évaluer les problèmes posés par la prise en charge des résidents et de proposer les moyens d'optimiser cette prise en charge. [Introduction]
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