Titre : | Female prostitutes in south London: use of heroin, cocaine and alcohol, and their relationship to health risk behaviours |
Titre traduit : | (Femmes prostituées dans le sud de Londres : usage d'héroïne, de cocaïne et d'alcool et conséquences des comportements à rique sur la santé) |
Auteurs : | M. GOSSOP ; POWIS B. ; P. GRIFFITHS ; J. STRANG |
Type de document : | Périodique |
Année de publication : | 1995 |
Format : | 253-260 / tabl. |
Note générale : | AIDS Care, 1995, 7, (3), 253-260 |
Langues: | Anglais |
Discipline : | PRE (Prévention - RdRD / Prevention - Harm reduction) |
Mots-clés : |
Thésaurus mots-clés IST ; PROSTITUTION ; POPULATION A RISQUE ; SEXE FEMININ ; CONTAMINATION ; ALCOOL ; CONDUITE A RISQUE ; PREVENTION ; ACTIVITE SEXUELLE |
Résumé : |
FRANÇAIS :
L'étude suivante porte sur le lien qui peut exister entre l'usage d'alcool et de drogues et les comportements sexuels à rique sur un échantillon de 51 femmes prostituées et ayant recours régulièrement à des opiacés et/ou des stimulants. Il n'y a pas de lien entre un type de drogue et les chances de non-utilisation du préservatif, mais il y a un lien entre la volonté d'avoir des rapports sexuels non protégés pour plus d'argent et le fait de consommer de l'alcool de plus en plus souvent. La plupart disent utiliser des préservatifs avec leurs clients mais certaines avouent que l'usage de la drogue compromet parfois la prise de telles précautions. Ces femmes s'exposent ainsi à une multitude de risques allant de ceux liés au matériel d'injection à ceux liés aux rapports sexuels non protégés, avec des partenaires sexuels qui -eux-mêmes- s'injectent ou se sont déjà injecté régulièrement de la drogue. 1/3 avait déjà contracté une MST. Il s'agit donc de savoir si la fréquence d'utilisation des préservatifs peut être utilisé comme un indicateur du niveau de riques d'infection. ENGLISH : The present study looks at the association between drug and alcohol use and sexual risk behaviours in a sample of 51 women who were currently using opiates and/or stimulants. There was no association between any of the drug use variables and the likelihood of unprotected sex. The use of drug appears to have affected the sexual practices of different women and a quarter of the sample reported that for them, drug use did reduce the chances that they would use a condom. There was a link between willingness to have unprotected sex for more money and drinking larger amounts and drinking more often. The results indicate that these women were exposed to a variety of health risks, including sharing injecting equipment and having unprotected sex with their regular partner who was often a current or former drug injector. A sub-sample had previously had at least one sexually transmitted disease. These findings about rates of STD infection raise questions about the extend to wich self-reported condom use by protitutes can be used as an indicator of actual levels of infection risk. (Author's abstract) |
Domaine : | Drogues illicites / Illicit drugs |
Refs biblio. : | 23 |
Affiliation : | Drug Transit. Project, Maudsley Hosp., London, UK |
Numéro Toxibase : | 204486 |
Cote : | A00495 |
Exemplaires
Disponibilité |
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aucun exemplaire |
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