Périodique
Testing for drug use, part 1: analytical methods
(Tests diagnostiques de l'usage de drogues, 1ére partie : méthodes analytiques.)
Auteur(s) :
M. MONTAGNE ;
C. B. PUGH ;
J. L. FINK III
Article en page(s) :
1297-1305
Refs biblio. :
65
Domaine :
Drogues illicites / Illicit drugs
Langue(s) :
Anglais
Discipline :
PRO (Produits, mode d'action, méthode de dépistage / Substances, action mode, screening methods)
Thésaurus mots-clés
ALCOOL
;
PHARMACOLOGIE
;
DEPISTAGE
;
DIAGNOSTIC
;
MESURES QUANTITATIVES
;
EVALUATION
Note générale :
American Journal of Hospital Pharmacy, 1988, vol. 45, 1297-1305
Résumé :
Historique, fiabilité et interprétation des méthodes analytiques pour le dépistage de l'alcool et des drogues. Le premier dépistage d'alcool sanguin date de 1920; les méthodes respiratoires établies en 1930 ont été répandues en 1960-69. Les essais pour détecter les narcotiques ont commencé dans les années 50 par le test de mydriase à la nalorphine après consommation récente de morphine et ont été remplacés par des tests de dépistage urinaires chez les sujets à risque, ainsi que chez les sportifs et les militaires. Ces tests peuvent être qualitatifs ou quantitatifs. Certaines méthodes ont une grande sensibilité, mais la confirmation est faite par les méthodes spécifiques. Les méthodes analytiques modernes sont basées sur des tests radio-immunologiques, enzymatiques, chromatographiques, spectrométriques ou d'immuno-fluorescence en lumière polarisée. Ces méthodes analytiques peuvent être infirmées par des erreurs de laboratoire ou de transport des échantillons, ou bien faussées volontairement par dilution des urines, par adjonction de sel, savon ou détergents, ou par ingestion de Probénécide. Ces facteurs d'erreurs rendent souvent difficile l'interprétation des résultats.
Affiliation :
Philadelphia Coll. Pharm. Sci., Woodland Ave. 43d St., Philadelphia PA 19104-4495
Etats-Unis. United States.
Etats-Unis. United States.
Est accompagné de :
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Disponibilité |
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