Titre : | Preemployment drug screening at the Johns Hopkins Hospital, 1989 and 1991 |
Titre traduit : | (Dépistage de produits psychotropes chez les postulants à un emploi au Johns Hopkins Hospital, en 1989 et 1991) |
Auteurs : | W. R. LANGE ; CABANILLA B.R. ; MOLER G. ; E.J. BERNACKI ; D. L. FRANKENFIELD ; P. J. FUDALA |
Type de document : | Périodique |
Année de publication : | 1994 |
ISBN/ISSN/EAN : | 0095-2990 |
Note générale : |
American Journal of Drug and Alcohol Abuse, 1994, 20, (1), 35-46 |
Langues: | Anglais |
Discipline : | PRO (Produits, mode d'action, méthode de dépistage / Substances, action mode, screening methods) |
Mots-clés : |
Thésaurus mots-clés DEPISTAGE ; MILIEU PROFESSIONNEL |
Résumé : |
FRANÇAIS : En 1989 et 1991, durant les mois de juin et juillet, le Johns Hopkins Hospital soumit tous les postulants à un emploi à un test de dépistage de drogues. En 1989, avant que ne soit instauré de manière formelle ce programme de tests, 593 demandeurs d'emploi ont été testés : 10,8% ont révélé une positivité à une ou plusieurs drogues (cannabis le plus souvent, puis venant derrière, la cocaïne, et enfin les opiacés). En 1991, après la mise en place définitive du programme de tests, 365 personnes ont été testées : 5,8% se sont révélées positives. Les opiacés arrivaient là en tête, suivis par la cocaïne, puis le cannabis. Au cours des deux périodes, les tests d'urine qui se sont révélés positifs ont été croisés aux renseignements socio-professionnels : ethnie (non-blancs) et niveau d'emploi (ouvrier). Alors qu'en 1989 les hommes se sont révélés en majorité positifs, en 1991 les femmes étaient plus nombreuses. La diminution de la prévalence constatée à la suite de l'instauration définitive du test conforte l'idée selon laquelle les tests préalables à l'embauche peuvent décourager les usagers de drogues d'effectuer une demande d'emploi. ENGLISH : During identical 2-month periods in 1989 and 1991, all applicants for employment at a major teaching hospital participated in preemployment drug screening. In 1989, before establishment of a formal preemployment testing program, screening was conducted without identifying information. Of 593 applicants screened, 64 (10,8%) were confirmed positive for one or more drugs. Marijuana metabolites were detected with the greatest frequency (35 samples, 55% of positive screens), followed by cocaine (36%), then opiates (28%). In 1991, after a formal preemployment testing program was in place, 365 applicants were screened, and 21 (5,8%) were confirmed positive. Opiates were most often detected (48% of positive screens), followed by cocaine (38%), then marijuana metabolites (28%). During both periods, positive urine screens were associated with ethnicity (non-White) and occupational category (blu-collar). Whereas in 1989 positive screens were associated with male gender, in 1991, females were more likely to test positive. The decline in prevalence following implementation of a screening program supports the notion that preemployment testing can serve as a deterrent for drug-using persons in applying for employment. (Author's abstract) |
Domaine : | Drogues illicites / Illicit drugs |
Refs biblio. : | 14 |
Affiliation : | Etats-Unis. United States. |
Numéro Toxibase : | 900210 |
Centre Emetteur : | 09 AMPT |
Exemplaires
Disponibilité |
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aucun exemplaire |
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