Titre : | Desipramine, amantadine, or fluoxetine in buprenorphine-maintained cocaine users |
Titre traduit : | (Désipramine, amantadine ou fluoxetine chez des usagers de cocaïne maintenus sous buprénorphine) |
Auteurs : | A. OLIVETO ; T. R. KOSTEN ; R. SCHOTTENFELD ; FALCIONI J. ; D. ZIEDONIS |
Type de document : | Périodique |
Année de publication : | 1995 |
ISBN/ISSN/EAN : | 0740-5472 |
Note générale : |
Journal of Substance Abuse Treatment, 1995, 12, (6), 423-428 |
Langues: | Anglais |
Discipline : | TRA (Traitement et prise en charge / Treatment and care) |
Mots-clés : |
Thésaurus mots-clés OPIACES ; COCAINE ; BUPRENORPHINE ; EFFICACITE ; SYNDROME DE SEVRAGE ; MANQUE ; TRAITEMENT ; COMPARAISON |
Résumé : |
FRANÇAIS : L'efficacité clinique de trois médicaments à réduire les symptômes de manque à la cocaïne chez des patients maintenus d'autre part sous buprénorphine pour un problème d'héroïnomanie, a été examinée. 21 héroïnomanes abusant de cocaïne ont participé à une expérience en double aveugle, d'une durée de 12 semaines. Ils recevaient quotidiennement 8 mg de buprenorphine et 150 mg de désipramine ou 300 mg d'amantadine ou 60 mg de fluoxetine. Des échantillons d'urine et des témoignages spontanés sur l'usage de drogue ont été recueillis 1 à 3 fois par semaine. Par ordre décroissant le taux de rétention en traitement pendant les 12 semaines pour les 3 groupes était : désipramine (83,3%), amantamine (66,7%), et fluoxetine (20,0%). Les groupes désipramine et amantadine ont également eu plus de test d'urine négatifs pour les opiacés et la cocaïne que le groupe fluoxetine. Ces résultats suggèrent que la désipramine et l'amantadine pourraient faciliter l'abstinence aux opiacés et à la cocaïne plus efficacement que la fluoxetine. ENGLISH : The clinical efficacy of promising cocaine anti-craving medications was examined in combination with buprenorphine. Twenty-one opioiddependent cocaine abusers were enrolled in a double-blind, 12-week trial in which they received on a daily basis buprenorphine (8 mg, s. l.) plus either desipramine (150 mg, p.o.), amantadine (300 mg, p.o.), or fluoxetine (60 mg, p.o.). Urine samples and self-reported drug use were obtained 1-3 times/week. The order of greatest patient retention across the 12 weeks was desipramine (83.3%)> amantadine (66.7%)> fluoxetine (20.0%). The desipramine and amantadine groups appeared to have greater increases in opioid-and cocaine-free urines than the fluoxetine group. These results suggest that desipramine and amantadine may facilitate greater opioid and cocaine abstinence than fluoxetine. (Authors' abstract) |
Domaine : | Drogues illicites / Illicit drugs |
Refs biblio. : | 19 |
Affiliation : |
Subst. Abuse Ctr., Dept. Psychiat., Yale Sch. Med., 34 Park St., New Haven, CT 06519 Etats-Unis. United States. |
Numéro Toxibase : | 401962 |
Centre Emetteur : | 04 CIRDD-51 |
Exemplaires
Disponibilité |
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