Périodique
Risk factors for human T-cell lymphotropic virus types I and II (HTLV I and II) in blood donors : the retrovirus epidemiology donor study
(Les facteurs de risque du virus lymphotrope T humain de types I et II (VLTH I et II) chez les donneurs de sang : étude épidémiologique sur le rétrovirus chez le donneur)
Auteur(s) :
SCHREIBER G. B. ;
E. L. MURPHY ;
J. A. HORTON ;
D. J. WRIGHT ;
R. GARFEIN ;
CO CHIEN H. ;
NASS C. C.
Refs biblio. :
52
Domaine :
Drogues illicites / Illicit drugs
Langue(s) :
Anglais
Discipline :
EPI (Epidémiologie / Epidemiology)
Thésaurus mots-clés
SANG
;
VIRUS
;
CONTAMINATION
;
USAGER
;
VOIE INTRAVEINEUSE
;
PARTENAIRE SEXUEL
;
FACTEUR DE RISQUE
Note générale :
Journal of Acquired Immune Deficiency Syndromes and Human Retrovirology, 1997, 14, (3), 263271
Résumé :
FRANÇAIS :
Aux Etats-Unis, les donneurs de sang ont été régulièrement contrôlés pour le virus lymphotrope T humain (VLTH) depuis 1988. Des donneurs séropositifs aux VLTH I et II ont été identifiés par des tests confirmés dans cinq centres de transfusion sanguine participant à l'étude. Ces donneurs ont été appariés à un groupe témoin séronégatif similaire sur le plan sociodémographique, parental et sexuel. L'injection de drogue ou les rapports sexuels avec un toxicomane par injection sont des facteurs de risque pour le VLTH II, mais pas pour le VLTH I. Les odds ratios pour les donneurs qui ont eu des toxicomanes par injection comme partenaires sexuels étaient 20,6 fois plus élevés que pour les autres. Pour les toxicomanes par injection, les odds ratios étaient 10 fois plus élevés que pour les non-usagers de drogue. En conclusion être toxicomane par injection ou avoir des rapports sexuels avec ce type de personne sont des facteurs de risque importants pour la transmisson du VLTH II, même parmi les poulations à faible risque comme les donneurs de sang. (D'après le résumé d'auteurs).
ENGLISH :
In the United-States, blood donors have been routinely screened for human T-cell lymphotropic virus (HTLV) since 1988. HTLV-I and -II seropositive blood donors have been identified through confirmatory testing at five participating blood centers and frequency-matched seronegative controls provided information on potential HTLV sociodemographic, parenteral, and sexual risk factors during structured interviews. Injection drug use (IDU) or having sex with an IDUs were significant risks for HTLV-II, but not for HTLV-I. The odds ratios (OR) for donors who had IDU sex partners was 20.6 times higher than those who did not. For IDUs, the OR was increased 10.5 times over nonusers. Our findings indicate that IDU and sex with IDUs are important risk factors for HTLV-II transmission, even among low-risk populations such as blood donors. (From authors'abstract).
Aux Etats-Unis, les donneurs de sang ont été régulièrement contrôlés pour le virus lymphotrope T humain (VLTH) depuis 1988. Des donneurs séropositifs aux VLTH I et II ont été identifiés par des tests confirmés dans cinq centres de transfusion sanguine participant à l'étude. Ces donneurs ont été appariés à un groupe témoin séronégatif similaire sur le plan sociodémographique, parental et sexuel. L'injection de drogue ou les rapports sexuels avec un toxicomane par injection sont des facteurs de risque pour le VLTH II, mais pas pour le VLTH I. Les odds ratios pour les donneurs qui ont eu des toxicomanes par injection comme partenaires sexuels étaient 20,6 fois plus élevés que pour les autres. Pour les toxicomanes par injection, les odds ratios étaient 10 fois plus élevés que pour les non-usagers de drogue. En conclusion être toxicomane par injection ou avoir des rapports sexuels avec ce type de personne sont des facteurs de risque importants pour la transmisson du VLTH II, même parmi les poulations à faible risque comme les donneurs de sang. (D'après le résumé d'auteurs).
ENGLISH :
In the United-States, blood donors have been routinely screened for human T-cell lymphotropic virus (HTLV) since 1988. HTLV-I and -II seropositive blood donors have been identified through confirmatory testing at five participating blood centers and frequency-matched seronegative controls provided information on potential HTLV sociodemographic, parenteral, and sexual risk factors during structured interviews. Injection drug use (IDU) or having sex with an IDUs were significant risks for HTLV-II, but not for HTLV-I. The odds ratios (OR) for donors who had IDU sex partners was 20.6 times higher than those who did not. For IDUs, the OR was increased 10.5 times over nonusers. Our findings indicate that IDU and sex with IDUs are important risk factors for HTLV-II transmission, even among low-risk populations such as blood donors. (From authors'abstract).
Affiliation :
Westat, 1650 Res. Blvd, Rockville, Maryland 20850
Etats-Unis. United States.
Etats-Unis. United States.
Exemplaires
Disponibilité |
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aucun exemplaire |