Titre : | Consommation de drogues par injection et Vih |
Titre traduit : | (Intravenous drug consumption and Hiv) |
Type de document : | Rapport |
Année de publication : | 1998 |
Note générale : |
In : Rapport sur l'épidémie mondiale de Vih/Sida, p. 34-39, Genève, Onusida, 1998 |
Langues: | Français |
Discipline : | EPI (Epidémiologie / Epidemiology) |
Mots-clés : |
Thésaurus mots-clés CONTAMINATION ; VOIE INTRAVEINEUSE ; VIH |
Résumé : |
FRANÇAIS : Dans de nombreux pays, l'injection de drogues est un facteur de propagation majeur du Vih. En Europe de l'Est (Belarus), par exemple, cela représente 87% des infections à Vih. Au Vietnam, c'est le vendeur lui-même qui procède à l'injection dans des "galeries" dites "d'injection" sans eau courante où le même pot de solution peut être partagé entre 50 clients, utilisant tous le même matériel sans nettoyage intermédiaire. Mais ces facteurs spéciaux ne sont pas des conditions préalables pour une propagation explosive du Vih ainsi qu'en témoigne le taux de contamination dans de nombreux pays où les pratiques décriées plus haut n'ont pas cours. En règle générale et selon un modèle mathématique : "dès que plus de 10% de la population des toxicomanes est infectée par le Vih, la prévalence augmentera presque inéluctablement à 40% ou 50% en quelques années". Il est primordial d'éduquer l'usager de drogues intraveineux et de réaliser des "programmes d'échanges d'aiguilles". Des villes telles que Glasgow, Toronto et Tacoma ont montré des résultats intéressants dans ce sens. |
Domaine : | Drogues illicites / Illicit drugs |
Affiliation : | France. France. |
Numéro Toxibase : | 303440 |
Centre Emetteur : | 03 Didro |
Exemplaires
Disponibilité |
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aucun exemplaire |
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