Titre : | HIV post-exposure therapy for drug users in treatment |
Titre traduit : | (Prise en charge suite à une exposition au VIH chez des usagers de drogue en cours de traitement) |
Auteurs : | P. G. O'CONNOR |
Type de document : | Périodique |
Année de publication : | 2000 |
ISBN/ISSN/EAN : | 0740-5472 |
Format : | 17-21 / tabl. |
Note générale : |
Journal of Substance Abuse Treatment, 2000, 18, 17-21 |
Langues: | Anglais |
Discipline : | MAL (Maladies infectieuses / Infectious diseases) |
Mots-clés : |
Thésaurus mots-clés VIH ; PREVENTION ; ANTIVIRAUX ; PRISE EN CHARGE ; EFFICACITE ; POPULATION A RISQUE ; INJECTION |
Résumé : |
FRANÇAIS : Lobjectif de cette étude a été dévaluer lattitude des prestataires de traitements envers les usagers de drogues qui ont été exposés au VIH. Une évaluation des prestataires de traitements de quatre programmes de maintenance à la méthadone (MMPs) dans le New Haven et dans le Connecticut, a été menée. Trente-cinq prestataires de MMP dont 29 membres du personnel de soin des MMP (médecins spécialistes, infirmières, conseillers) et 6 personnes (PCP) appartenant au personnel fournissant des soins directs (médecins spécialistes, infirmières spécialisées et infirmières) ont participé à cette étude. Les prestataires ont chacun été confrontés à quatre cas de personnes exposées au VIH par piqûre avec une aiguille : un personne effectuant les prises de sang dans le cadre de son travail (cas A) et trois usagers de drogues qui n'ont pas été exposés durant leur travail (cas B, C, D). Les cas B et A avaient les mêmes risques dexposition (3 piqûres/4ans) et les autres plus de risques : le cas C (4 à 6 piqûres/an) et le cas D (piqûres mensuelles). Pour chaque cas, on a demandé aux prestataires si oui ou non ils proposeraient un traitement de post-exposition au VIH (TPE) . De plus, chez chaque prestataire, on a formé des groupes de travail à qui lon a demandé le rôle que devrait jouer le programme de traitement de maintenance drogues dans la mise en place d'un TPE. Tous les membres du personnel soignant ont estimé que la personne exposée dans le cadre de son travail devrait recevoir une thérapie du type TPE. Pour les autres cas, la répartition était la suivante : cas B (personnel MMP : 86% [25/29], PCP : 100% [6/6]), cas C (personnel MMP : 69% [20/29], PCP : 33% [2/6]), et cas D (personnel MMP : 59% [17/29], PCP : 17% [1/6]). Les thèmes communs traités lors des groupes de discussion étaient les suivants : inquiétude quant au manque de ressources pour que le prestataire puisse proposer le TPE, problèmes déthique posés par le fait de différer les TPE, nombre de fois que ce traitement peut être proposé à un même individu, et rôle dans la prévention contre le VIH. La possibilité de mettre en place des TPE destinés aux usagers de drogues soulève des questions importantes qui devront être étudiées si le TPE est de plus en plus utilisée pour les usagers de drogues. ENGLISH : The purpose of this study was to evaluate the attitudes of drug treatment program providers concerning human immunodeficiency virus (HIV) post-exposure therapy (PET) for drug users enrolled in drug treatment. This was a cross-sectional evaluation of drug treatment program providers in four methadone maintenance programs (MMPs) in New Haven, Connecticut. Thirty-five MMP providers including: 29 MMP treatment staff (physicians, nurses, counselors) and 6 primary care provider staff (physicians, nurse practitioners, and nurses) participated in the study. The providers were presented with four case vignettes of individuals exposed to HIV through a needle stick ("stick"): a phlebotomist with occupational exposure (Case A) and three drug users with nonoccupational exposure to HIV (Cases B, C, and D). Case B had the same estimated future risk as Case A (three sticks/4 years) and the other cases had increased risk: Case C (four to six sticks/year) and Case D (monthly "sticks"). For each vignette, providers were asked whether they would offer HIV PET ("yes" or "no"). In addition, focus groups were held within each group of providers who were asked: "What role should drug treatment programs play in the implementation of PET?" All MMP staff (29/29) and primary care providers (6/6) felt that the phlebotomist with occupational exposure should be offered PET. The percent of MMP and Primary care provider staff recommending PET for the other cases were: Case B (MMP staff: 86% [25/29], PCPs: 100% [6/6]), Case C (MMP staff: 69% [20/29], PCPs: 33% [2/6]), and Case D (MMP staff: 59% [17/29], PCPs: 17% [1/6]). The "common themes" that were identified in the focus groups included: concern that MMPs lack resources to provide PET, the ethics of withholding PET, the "limit" on the number of times PET should be offered, and the role of PET in the overall HIV prevention message. Both MMP staff and PCPs felt that MMPs should have an "indirect" role in providing HIV PET by providing education and referral only. MMP staff and PCPs differed in their likelihood of offering HIV PET to drug users enrolled in MMPs. The possibility of HIV PET for drug users in treatment raises significant implementation issues for MMPs that will require further study if HIV PET becomes widely used in drug users. (Editor's abstract.) |
Note de contenu : | tabl. |
Domaine : | Drogues illicites / Illicit drugs |
Refs biblio. : | 12 |
Affiliation : |
Dept. Int. Med. Substance Abuse Treatment Unit, Yale Univ. Sch. of Med., Primary Care Ctr. and Yale-New Haven Hosp., 333 Cedar St., P.O.B. 208025, New Haven, CT 06520-8025. E-mail : patrick.oconnor@yale.edu Etats-Unis. United States. |
Numéro Toxibase : | 403188 |
Centre Emetteur : | 04 CIRDD-51 |
Exemplaires
Disponibilité |
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aucun exemplaire |
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