Titre : | Attitudes toward compulsory substance abuse treatment: a comparison of the public, conselors, probationers and judges' views |
Titre traduit : | (Attitudes face à l'obligation de soins en matière d'abus de drogues: comparaison des opinions du public, des intervenants en toxicomanie, des jeunes déliquants en liberté surveillée et des juges) |
Auteurs : | T. C. WILD ; B. NEWTON-TAYLOR ; A. C. OGBORNE ; R. MANN ; P. ERICKSON ; S. MACDONALD |
Type de document : | Périodique |
Année de publication : | 2001 |
Format : | 33-45 |
Note générale : | Drugs Education, Prevention and Policy, 2001, 8, (1), 33-45 |
Langues: | Anglais |
Discipline : | SHS (Sciences humaines et sociales / Humanities and social sciences) |
Mots-clés : |
Thésaurus mots-clés TRAITEMENT ; OBLIGATION DE SOINS ; OPINION ; JUGE ; DELINQUANCE ; JEUNE ; INTERVENANT ; ENQUETE ; REPRESENTATION SOCIALEThésaurus géographique CANADA |
Résumé : |
FRANÇAIS :
Les attitudes vis-à-vis de l'obligation de soins ont été comparées au sein d'un échantillon représentatif constitué de personnes publiques (700), d'intervenants en toxicomanie (994), de jeunes délinquants (35) et de juges (994). Tous les interviewés pensent que le traitement obligatoire est moins efficace que le traitement volontaire et ne doit se justifier que pour les individus dont l'usage de produits est lié à des crimes violents et diminue les capacités de travail. Le public soutient plus le traitement obligatoire et attend que celui-ci aide de façon significative plus d'individus. Les juges et le public comparés aux jeunes délinquants et aux intervenants sont moins enclins à respecter le choix du patient à s'engager ou non dans un traitement. Ces résultats suggèrent que la large mise en application des politiques et programmes de traitements obligatoires ne devraient pas être soutenus de façon uniforme par ceux qui en détiennent les enjeux. Les implications pour la politique, les programmes et la théorie en matière de drogues sont discutés. ENGLISH: Attitudes toward compulsory treatment for alcohol and other drug abuse were compared among a representative sample drawn from the general public (N=994) and convenience samples of substance abuse counselors (N=700), probationers (N=35) and judges (N=89). All respondents believed that compulsory substance abuse treatment is (a) less effective than voluntary treatment and (b) most justified only for individuals whose substance use was associated with serious crimes and impaired job performance. In addition, the general public reported significantly higher support for compulsory treatment and expected forced treatment to help significantly more individuals, compared to probationers and substance abuse counselors. Judges and the general public were significantly less likely to respect client choices about whether or not to engage in treatment compared to probationers and substance abuse counsellors. These results suggest that broad implementation of compulsory substance abuse treatment policies and programs would not be uniformly supported across key stakeholders. Implications of the findings for substance abuse policy, programming and theory are discussed. (Author's abstract.) |
Domaine : | Drogues illicites / Illicit drugs |
Affiliation : | Ctre Hlth Promotion Studies, Univ. Alberta, Alberta, Canada |
Numéro Toxibase : | 1100831 |
Exemplaires
Disponibilité |
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aucun exemplaire |
