Titre : | Caféine à gogo |
Titre traduit : | (Caffeine galore) |
Auteurs : | GOETGHEBUER G. |
Type de document : | Périodique |
Année de publication : | 2006 |
Format : | 40-45 / ill. |
Note générale : |
Sport et Vie, 2006, (99), 40-45 |
Langues: | Français |
Discipline : | SHS (Sciences humaines et sociales / Humanities and social sciences) |
Mots-clés : |
Thésaurus mots-clés CAFEINE ; DOPAGE ; SPORT ; DEPENALISATION ; POLITIQUE |
Résumé : |
FRANÇAIS : A la parution de la liste rouge en 2004, les spécialistes ont été très surpris de constater la disparition d'une série de stimulants légers apparentés à l'éphédrine et surtout l'absence incompréhensible d'une des plus anciennes stars du dopage: la caféine. Pourquoi une telle mansuétude à son égard ? "C'est politique", avait déclaré le président Dick Pound pour justifier cette décision lors d'une réunion de l'Agence mondiale antidopage à Montréal en septembre 2003. A l'époque, il lui fallait mettre tout le monde d'accord sur une seule et même liste de produits interdits. Sans doute pensait-il qu'en se fixant des objectifs ad minima, son travail de persuasion en serait facilité. Puis l'idée de sortir la caféine s'explique aussi par les difficultés techniques posées par l'interprétation d'un test pour une substance aussi solidement implantée dans les habitudes de consommation. La caféine est partout et nous ne la métabolisons pas tous de la même manière. Enfin, on se souvient que, quelques années auparavant, le président du Comité international olympique, l'Espagnol Juan Antonio Samaranch avait plaidé pour une simplification drastique de la liste. A l'époque, tout le monde lui était tombé dessus. En dépénalisant la caféine, l'Agence mondiale antidopage venait en somme de lui donner satisfaction. (Extrait du document.) |
Note de contenu : | ill. |
Domaine : | Dopage / Doping |
Affiliation : | France. France. |
Numéro Toxibase : | 1101542 |
Centre Emetteur : | 11 SEDAP |
Exemplaires
Disponibilité |
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aucun exemplaire |
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