Titre : | Faire entorse aux gestes "barrières" face au SARS-CoV-2. Quelles continuités avec le rapport au risque d'infections virales associé à la sexualité et l'usage de drogues par injection ? (2021) |
Auteurs : | F. SCHMITT |
Type de document : | Article : Périodique |
Dans : | Courrier des Addictions (Le) (Vol.23, n°1, Janvier-février-mars 2021) |
Article en page(s) : | 26-30 |
Langues: | Français |
Discipline : | SHS (Sciences humaines et sociales / Humanities and social sciences) |
Mots-clés : |
Thésaurus géographique FRANCEThésaurus mots-clés EPIDEMIE ; CONDUITE A RISQUE ; INFECTION ; SOCIOLOGIE ; PRODUIT ILLICITE ; PRECARITE |
Résumé : | Porter un masque jusqu'au-dessus du nez, se laver les mains régulièrement, respecter les distances d'un mètre entre les individus dans les lieux publics, ne sortir de chez soi que par nécessité... : ces différentes règles de prévention destinées à réduire la diffusion du SARS-CoV-2, nous les connaissons bien désormais. Elles sous-tendent le fonctionnement des politiques de santé publique contemporaines, qui reposent sur une forme de "gouvernement des corps à distance" [1] incitant à devenir responsable de sa santé par la recherche d'un contrôle de soi conforme aux recommandations biomédicales [2]. Il a, certes, demeuré un certain flou sur ces règles qu'il convenait d'appliquer au début du premier confinement. Le port du masque, qui a fait l'objet de nombreux messages contradictoires de certains médecins et ministres et d'un revirement du gouvernement à propos de son efficacité, en est un des exemples les plus illustratifs. [Extrait] |
Domaine : | Drogues illicites / Illicit drugs |
Refs biblio. : | 16 |
Affiliation : | Doctorant en sociologie, université de Lyon-II, ATER à Science-Po Lyon, France |
Cote : | Abonnement |
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