Congrès
Le cannabis
(Cannabis)
Auteur(s) :
FEDERATION REGIONALE DES PSYCHIATRES DES CLINIQUES PRIVEES ;
Fédération Régionale de la Formation Médicale Continue des Psychiatres des Cliniques Privées du Languedoc-Roussillon, Organisateur de réunion ;
D. BAILLY ;
COURTET P. ;
Le cannabis (samedi 18 octobre 2003; Montpellier) ;
CUNGI C. ;
P. DECOURT ;
J. P. GALLAND ;
C. LANÇON ;
G. LE FUR
Article en page(s) :
10 p.
Sous-type de document :
Compte rendu & Table ronde / Minutes & Round-table conference
Domaine :
Drogues illicites / Illicit drugs
Langue(s) :
Français
Discipline :
PRO (Produits, mode d'action, méthode de dépistage / Substances, action mode, screening methods)
Thésaurus mots-clés
CANNABIS
;
SYSTEME NERVEUX CENTRAL
;
MECANISME D'ACTION
;
TOXICITE
;
CONSOMMATION
;
ADDICTION
;
DEPENDANCE
;
HISTOIRE
;
SCHIZOPHRENIE
;
PHARMACOLOGIE
;
PSYCHIATRIE
Thésaurus géographique
HERAULT
Note générale :
Résumés des communications, Fédération Régionale de la Formation Médicale Continue des Psychiatres des Cliniques Privées du Languedoc-Roussillon, Montpellier, samedi 18 octobre 2003, 2003, 10 p.
Résumé :
FRANÇAIS :
Les psychiatres établissent un constat commun : leurs patients consomment de plus en plus de cannabis, cet usage constitue un facteur de risques, et une forte consommation aggrave les troubles psychiatriques. Leur impression se trouve confortée par deux études récentes en Suède et en Nouvelle-Zélande. Le cannabis stocké dans le cerveau s'y accumule au fur et à mesure des prises, les risques sont augmentés avec des effets souvent différés. Chez les jeunes patients, les professionnels décrivent des adolescents inertes présentant des crises d'angoisse, des attaques de panique, des bouffées délirantes. Les chiffres diffusés seraient très sous-évalués ; les psychiatres se refusent à diaboliser ou à banaliser et souhaitent que l'information précède la modification de l'arsenal législatif, tout en se positionnant hors du champ politique.
Les psychiatres établissent un constat commun : leurs patients consomment de plus en plus de cannabis, cet usage constitue un facteur de risques, et une forte consommation aggrave les troubles psychiatriques. Leur impression se trouve confortée par deux études récentes en Suède et en Nouvelle-Zélande. Le cannabis stocké dans le cerveau s'y accumule au fur et à mesure des prises, les risques sont augmentés avec des effets souvent différés. Chez les jeunes patients, les professionnels décrivent des adolescents inertes présentant des crises d'angoisse, des attaques de panique, des bouffées délirantes. Les chiffres diffusés seraient très sous-évalués ; les psychiatres se refusent à diaboliser ou à banaliser et souhaitent que l'information précède la modification de l'arsenal législatif, tout en se positionnant hors du champ politique.
Affiliation :
Clinique RECH, 9 ave. Charles Flahault, 34094 Montpellier
France. France.
France. France.
Exemplaires
Disponibilité |
---|
aucun exemplaire |