Périodique
Comorbidité schizophrénie héroïnomanie et autres addictions : aspects cliniques et thérapeutiques
(Comorbidity schizophrenia and addictions : clinical and therapeutical aspects)
Auteur(s) :
CARTIER M. ;
KANIT, M. ;
LAQUEILLE, X.
Année :
2004
Page(s) :
311-316
Langue(s) :
Français
Refs biblio. :
12
Domaine :
Drogues illicites / Illicit drugs
Thésaurus mots-clés
COMORBIDITE
;
SCHIZOPHRENIE
;
ADDICTION
;
HEROINE
;
PRISE EN CHARGE
;
TRAITEMENT
;
TROUBLES DU COMPORTEMENT
;
PREVALENCE
;
AUTOMEDICATION
;
FACTEUR DE VULNERABILITE
Note générale :
Annales Médico Psychologiques, 2004, (162), 311-316
Résumé :
FRANÇAIS :
L'usage des toxiques est fréquent à l'adolescence comme au début de l'âge adulte. Par ailleurs, la consommation de toxiques peut être annonciateur d'une pathologie débutante, comme en premier lieu la schizophrénie, mais aussi atténuée des symptômes existants. La consommation d'opiacés chez les schizophrènes est peu fréquente, et s'accompagne toujours de la consommation d'autres toxiques, ne permettant pas une spécificité clinique pour la consommation d'opiacés. On sait également que les patients schizophrènes. consommateurs de toxiques, rechutent plus souvent, sont plus souvent hospitalisés, ont des comportements plus violents et sont le plus souvent SDF. Enfin, la comorbidité schizophrénie-addiction rend difficile la prise en charge d'une part, par l'influence des drogues sur la symptomatologie, et d'autre part, par la mauvaise réponse aux antipsychotiques. (Résumé de la revue.)
L'usage des toxiques est fréquent à l'adolescence comme au début de l'âge adulte. Par ailleurs, la consommation de toxiques peut être annonciateur d'une pathologie débutante, comme en premier lieu la schizophrénie, mais aussi atténuée des symptômes existants. La consommation d'opiacés chez les schizophrènes est peu fréquente, et s'accompagne toujours de la consommation d'autres toxiques, ne permettant pas une spécificité clinique pour la consommation d'opiacés. On sait également que les patients schizophrènes. consommateurs de toxiques, rechutent plus souvent, sont plus souvent hospitalisés, ont des comportements plus violents et sont le plus souvent SDF. Enfin, la comorbidité schizophrénie-addiction rend difficile la prise en charge d'une part, par l'influence des drogues sur la symptomatologie, et d'autre part, par la mauvaise réponse aux antipsychotiques. (Résumé de la revue.)
Affiliation :
Serv. dispensaire Moreau-de-Tours, Hôp. Sainte-Anne, Univ. Paris-V, 1 rue Cabanis, 75014 Paris
France. France.
France. France.
Cote :
A02130