Congrès
Toxicomanie - Sida : pratiques de réseaux et collaborations nécessaires
(Aids and drug use : network practice and necessary collaboration)
Auteur(s) :
PLURALIS
Domaine :
Drogues illicites / Illicit drugs
Langue(s) :
Français
Thésaurus mots-clés
SIDA
;
SEROPOSITIVITE
;
PRISE EN CHARGE
;
ACCOMPAGNEMENT
;
TRAITEMENT AMBULATOIRE
;
OBSERVANCE DU TRAITEMENT
;
MEDECIN GENERALISTE
;
HOPITAL DE JOUR
;
PRISON
;
REINSERTION SOCIALE
;
APPARTEMENT THERAPEUTIQUE
;
PARTENARIAT
Note générale :
Deuxième rencontre Pluralis avril 1989, Paris, Pluralis, 1990, 46 p.
Résumé :
FRANÇAIS :
Présentés respectivement par A. VELLAY-BAS et J. P. LHOMME / F. BOUE et A. ABELHAUSER / A. MICHEL / G. NAURET / H. MORFINI / C. SINGRE et J. DOLL, ces quatre exposés expriment l'idée que la prise en charge des toxicomanes séropositifs ou atteints du sida nécessite une étroite collaboration entre personnes et institutions. Elle ne peut être efficace que grâce à l'émergence d'une volonté commune des différents partenaires médicaux et sociaux. Le médecin généraliste est souvent le premier interlocuteur du toxicomane, dont il peut assurer le suivi, tout en intégrant son rôle dans une collaboration avec spécialistes, hôpitaux et institutions, dans laquelle chacun garde sa spécificité. L'hôpital de jour accueille, parmi d'autres malades, les toxicomanes séropositifs et permet une prise en charge thérapeutique et psychologique au cours de l'évolution de la maladie. L'expérience des appartements thérapeutiques est une réponse sociale à la réinsertion des séropositifs et un moyen de lutte contre toute exclusion. Le travail en réseau se concrétise enfin dans les antennes toxicomanie des prisons qui sont en relation constante avec d'autres centres spécialisés : hôpitaux, foyers d'hébergement, etc...
Présentés respectivement par A. VELLAY-BAS et J. P. LHOMME / F. BOUE et A. ABELHAUSER / A. MICHEL / G. NAURET / H. MORFINI / C. SINGRE et J. DOLL, ces quatre exposés expriment l'idée que la prise en charge des toxicomanes séropositifs ou atteints du sida nécessite une étroite collaboration entre personnes et institutions. Elle ne peut être efficace que grâce à l'émergence d'une volonté commune des différents partenaires médicaux et sociaux. Le médecin généraliste est souvent le premier interlocuteur du toxicomane, dont il peut assurer le suivi, tout en intégrant son rôle dans une collaboration avec spécialistes, hôpitaux et institutions, dans laquelle chacun garde sa spécificité. L'hôpital de jour accueille, parmi d'autres malades, les toxicomanes séropositifs et permet une prise en charge thérapeutique et psychologique au cours de l'évolution de la maladie. L'expérience des appartements thérapeutiques est une réponse sociale à la réinsertion des séropositifs et un moyen de lutte contre toute exclusion. Le travail en réseau se concrétise enfin dans les antennes toxicomanie des prisons qui sont en relation constante avec d'autres centres spécialisés : hôpitaux, foyers d'hébergement, etc...
Affiliation :
16 allée Pern. du Guillet, 75019 Paris
France. France.
France. France.
Exemplaires
Disponibilité |
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aucun exemplaire |