Titre : | A gender comparison of health status among users of crack cocaine |
Titre traduit : | (Etude comparative de l'état de santé parmi les usagers de crack, selon le sexe) |
Auteurs : | H. V. McCOY ; C. MILES |
Type de document : | Périodique |
Année de publication : | 1992 |
ISBN/ISSN/EAN : | 0279-1072 |
Note générale : |
Journal of Psychoactive Drugs, 1992, 24, (4), 389-397 |
Langues: | Anglais |
Discipline : | PAT (Pathologie organique / Organic pathology) |
Mots-clés : |
Thésaurus TOXIBASE CRACK ; SEXE MASCULIN ; SEXE FEMININ ; COMPORTEMENT ; SANTE ; SEXUALITE ; PATHOLOGIE ; VIH |
Résumé : |
FRANÇAIS : L'étude est menée au sein d'une population d'usagers de crack, la plupart également toxicomanes par voie intraveineuse ou partenaires sexuel(le)s de ceux-ci. L'auto-appréciation de l'état de santé aboutit aux constats suivants: une perception plus valorisée de la part en particulier des hommes séronégatifs, alors que les femmes séropositives témoignent des conséquences d'un état de santé médiocre. La séroprévalence dans ce constat n'est un facteur significatif que pour les femmes. Les différences relevées en matière de pneumonie (plus mentionnée par les femmes), d'hépatite et de tuberculose (plus mentionnées par les hommes) ne sont pas significatives; alors que les femmes sont significativement plus nombreuses à relater des endocardites. Parmi les usagers réguliers de crack les hommes sont significativement plus atteints par la blenorragie et les femmes par la syphillis. L'état de santé général des femmes est susceptible de multiplier par huit le risque de sida: les femmes échangent plus le sexe contre de la drogue et de l'argent, et ce d'autant plus qu'elles sont elles-mêmes consommatrices régulières de crack. ENGLISH : This study examines a population of inner-city crack cocaine users in Miami, Florida. Many study participants were also injection drug users; others were the sexual partners of injection drug users. In general, the self-reported health status of the study population was good, but men perceived their health in a more positive light than did women. HIV-seronegative men were most likely to report excellent or good health, and seropositive women reported the greatest incidence of poor health, regardless of the amount of crack use. Serostatus was statistically significant for women but not for men. Pneumonia was reported more frequently by women, while hepatitis and tuberculosis were reported more frequently by men. There was a significant gender difference in reported endocarditis among light users of crack, with more reporting a history of endocarditis. Among sexually transmitted diseases, men reported more gonorrhea and women reported more syphilis (statistically significant only for heavy users of crack). A gender difference was evident in the HIV seropositivity rates, with 25.7% of men and 32.2% of women testing positive for antibodies to HIV. Women were significantly more likely than men to trade sex for drugs and/or money. Women who were heavy crack users traded most often and would be expected to be at correspondingly increased risk for HIV infection or transmission. (Extract from author's abstract) |
Domaine : | Drogues illicites / Illicit drugs |
Refs biblio. : | 42 |
Affiliation : |
Univ. Miami, Dominion Tower, Comp. Res. Ctr, 1400 N W 10th Ave, Miami, FL 33136 Etats-Unis. United States. |
Numéro Toxibase : | 101025 |
Centre Emetteur : | 01 Pey Berland |
Exemplaires
Disponibilité |
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aucun exemplaire |
