Titre : | Adverse consequences of lysergic acid diethylamide (1993) |
Titre traduit : | (Les troubles provoqués par le diéthylamide de l'acide lysergique - LSD) |
Auteurs : | H. D. ABRAHAM ; A. M. ALDRIDGE |
Type de document : | Article : Périodique |
Dans : | Addiction (Vol.88, n°10, October 1993) |
Article en page(s) : | 1327-1334 |
Langues: | Anglais |
Discipline : | PSY (Psychopathologie / Psychopathology) |
Mots-clés : |
Thésaurus mots-clés LSD ; EFFET SECONDAIRE ; PSYCHOPATHOLOGIE ; NEUROLOGIE |
Résumé : |
FRANÇAIS :
La consommation endémique permanente de drogues hallucinogènes, en particulier de LSD, provoque l'inquiétude quant aux troubles qu'elles provoquent à court et long terme. L'analyse épidémiologique de la prise abusive de LSD incite à conclure à une augmentation de la consommation de LSD chez les jeunes, alors que les taux de prévalence des autres substances continuent de chuter. Il existe des preuves à l'appui du lien existant entre la consommation de LSD et les réactions de panique, les schizophrénies dysthymiques prolongées, et les troubles de la perception provoqués par les psychodysleptiques, ces derniers pouvant se prolonger pendant cinq ans. Il n'existe pas de preuves étayant l'argument selon lequel la prise d'hallucinogènes entraînerait des troubles génétiques. A la lumière de ce qui précède, les données actuelles confirment les premières constatations selon lesquelles la prise de LSD par les sujets vulnérables provoque une psychopathologie durable. On propose, comme explication, l'hypothèse d'un processus moléculaire à long terme. ENGLISH : The continued endemic use of hallucinogenic drugs, and of LSD in particular, raises concern regarding their short and long term adverse consequences. The epidemiology of LSD abuse is reviewed suggesting an increase in LSD use among the young as the prevalence rates for other substances continues to fall. Evidence supports the association of LSD use with panic reactions, prolonged schizoaffective psychoses and post-hallucinogen perceptual disorder, the latter being present continually for as long as 5 years. Evidence does not support claims of genetic disorders arising from hallucinogens. In light of the foregoing, current data confirm earlier findings of long lasting psychopathology arising in vulnerable individuals from the use of LSD. A hypothetical long term molecular mechanism of adverse effects is proposed. (Author's abstract) |
Domaine : | Drogues illicites / Illicit drugs |
Refs biblio. : | 72 |
Affiliation : |
Dept Psychiatr., New England Med. Ctr, St Elizabeth's Hosp. Boston, MA Etats-Unis. United States. |
Numéro Toxibase : | 202426 |
Centre Emetteur : | 02 Coordonnateur |
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