Congrès
L'autoadministration intraveineuse de substances psychostimulantes chez l'animal: un modèle d'étude des comportements d'adaptation/désadaptation
(Intravenous psychoactive substances autoadministration among animals: a model of study of adaptative/desadaptative behaviors)
Auteur(s) :
PIAZZA, P. V. ;
SIMON, H.
Année :
1994
Langue(s) :
Français
ISBN :
978-2-9504147-5-5
Refs biblio. :
64
Domaine :
Drogues illicites / Illicit drugs
Discipline :
PRO (Produits, mode d'action, méthode de dépistage / Substances, action mode, screening methods)
Thésaurus mots-clés
STRESS
;
DOPAMINE
;
HORMONES
;
ANIMAL
;
MODELE
;
COMPORTEMENT
;
ADAPTATION
;
AUTOADMINISTRATION
Note générale :
In: Le plaisir au risque de souffrir et réflexion sur la prévention, actes de la 3ème journée d'étude du Ctre Natl de Prévention d'Etudes et de Recherche en Toxicomanie, Paris, 18 octobre 1993, p. 43-70, Paris, CNPERT, 1994
Résumé :
FRANÇAIS :
"Les connaissances actuelles sur les bases neurobiologiques des effets renforçants des psychostimulants suggèrent qu'une plus grande activité des neurones dopaminergiques du mésencéphale, et en particulier de leurs projections au niveau du noyau accumbens, pourrait être à la base d'une plus grande vulnérabilité individuelle à développer un comportement de prise de drogues. De plus, l'étude de la physiologie de ces neurones suggère que deux facteurs supplémentaires, le stress et la sécrétion de corticostérone, peuvent interagir avec les neurones dopaminergiques dans la détermination de cette vulnérabilité. Pour ces raisons, nous avons recherché si une interaction entre stress, glucocorticoïdes et dopamine pouvait être l'un des mécanismes physiopathologiques de la vulnérabilité individuelle au développement de la prise de drogues". Les principales données expérimentales permettant d'émettre cette hypothèse sont résumées ici.
"Les connaissances actuelles sur les bases neurobiologiques des effets renforçants des psychostimulants suggèrent qu'une plus grande activité des neurones dopaminergiques du mésencéphale, et en particulier de leurs projections au niveau du noyau accumbens, pourrait être à la base d'une plus grande vulnérabilité individuelle à développer un comportement de prise de drogues. De plus, l'étude de la physiologie de ces neurones suggère que deux facteurs supplémentaires, le stress et la sécrétion de corticostérone, peuvent interagir avec les neurones dopaminergiques dans la détermination de cette vulnérabilité. Pour ces raisons, nous avons recherché si une interaction entre stress, glucocorticoïdes et dopamine pouvait être l'un des mécanismes physiopathologiques de la vulnérabilité individuelle au développement de la prise de drogues". Les principales données expérimentales permettant d'émettre cette hypothèse sont résumées ici.
Affiliation :
Dept Psychobiol. Comportements Adaptifs, Inst Natl Santé Rech. Méd., U 259, Bordeaux
France. France.
France. France.
Historique