Article de Périodique
Researching self help drug treatment: collaboration and conflict in the age of harm reduction (1994)
(Recherche sur l'auto-support dans le traitement de la toxicomanie : collaboration et conflit à l'époque de la politique de réduction des risques)
Auteur(s) :
J. TOUMBOUROU ;
M. HAMILTON
Article en page(s) :
151-156
Refs biblio. :
23
Domaine :
Drogues illicites / Illicit drugs
Langue(s) :
Anglais
Thésaurus mots-clés
TRAITEMENT
;
ENTRAIDE
;
REDUCTION DES RISQUES ET DES DOMMAGES
;
PARTENARIAT
;
RECHERCHE
Résumé :
FRANÇAIS :
Il existe plusieurs points de divergence entre les philosophies traditionnellement épousées par les groupes d'auto-support et celles défendues par les partisans d'une politique de réduction des risques. Dans ce texte, sont examinées quelques-unes de ces divergences. Les groupes d'auto-support ont tendance à modifier et à développer des réponses en fonction des attentes de la communauté, et ce processus peut se renouveler. Les auteurs relatent leur expérience en matière de recherche, de travail en collaboration avec les groupes d'auto-support et plus particulièrement avec ceux de Victoria. Le partenariat a des avantages pour les deux parties. En effet il offre la possibilité de mieux informer les chercheurs sur les développements dans les groupes d'auto-support (y compris sur les pratiques des toxicomanes). Il encourage aussi une meilleure compréhension chez les membres de ces groupes à propos d'éventuels problèmes qui, la recherche l'a démontré, peuvent être liés aux pratiques de certains groupes.
ENGLISH :
In this paper we examine some of the differences between self help and harm reduction approaches. We argue that (in common with other treatment modalities) self help groups have altered and developed in reponse to changing community expectations and that this process should be expected to continue. We report on our ongoing exploration of research partnerships with self help groups members focusing particularly upon research conducted in collaboration with self help groups in Victoria. We argue that research partnerships have advantages for both parties. These partnerships have the potential to better inform researchers of developments in the self help community (including the practices of active drug users). Research partnerships also encourage better understanding among self help group members of some of the potential problems that, as research has indicated, may be associated with certain self help group practices. (Extract from author's abstract)
Il existe plusieurs points de divergence entre les philosophies traditionnellement épousées par les groupes d'auto-support et celles défendues par les partisans d'une politique de réduction des risques. Dans ce texte, sont examinées quelques-unes de ces divergences. Les groupes d'auto-support ont tendance à modifier et à développer des réponses en fonction des attentes de la communauté, et ce processus peut se renouveler. Les auteurs relatent leur expérience en matière de recherche, de travail en collaboration avec les groupes d'auto-support et plus particulièrement avec ceux de Victoria. Le partenariat a des avantages pour les deux parties. En effet il offre la possibilité de mieux informer les chercheurs sur les développements dans les groupes d'auto-support (y compris sur les pratiques des toxicomanes). Il encourage aussi une meilleure compréhension chez les membres de ces groupes à propos d'éventuels problèmes qui, la recherche l'a démontré, peuvent être liés aux pratiques de certains groupes.
ENGLISH :
In this paper we examine some of the differences between self help and harm reduction approaches. We argue that (in common with other treatment modalities) self help groups have altered and developed in reponse to changing community expectations and that this process should be expected to continue. We report on our ongoing exploration of research partnerships with self help groups members focusing particularly upon research conducted in collaboration with self help groups in Victoria. We argue that research partnerships have advantages for both parties. These partnerships have the potential to better inform researchers of developments in the self help community (including the practices of active drug users). Research partnerships also encourage better understanding among self help group members of some of the potential problems that, as research has indicated, may be associated with certain self help group practices. (Extract from author's abstract)
Affiliation :
Dept Public Hlth Comm. Med., Univ. Melbourne, 243 Grattan st., Carlton, Victoria
Australie. Australia.
Australie. Australia.