Rapport
Non UK European Union nationals in prison in England and Wales : an exploratory study
(Les européens non britanniques incarcérés dans les prisons en Angleterre et au Pays de Galles. Une étude exploratoire.)
Auteur(s) :
STILLWELL, G. ;
CRANSTON PRISONER RESOURCE SERVICE
Année :
1994
Langue(s) :
Anglais
Refs biblio. :
15
Domaine :
Drogues illicites / Illicit drugs
Thésaurus mots-clés
PRISON
;
ENQUETE
;
DEMOGRAPHIE
;
EPIDEMIOLOGIE
;
NATIONALITE
;
CRIME
;
DELINQUANCE
;
PRISE EN CHARGE
;
SANTE
;
DROIT
Note générale :
Commission of the European Communities, 1994, 39 p.
Résumé :
FRANÇAIS :
Les européens connaissent une mobilité trans-frontalière de plus en plus importante, ce qui conduit, entre autre conséquences, à une augmentation de la population européenne (non britannique) dans les prisons en Angleterre et au Pays de Galles. Parmi celle-ci, la majorité est incarcérée pour raison de violence ou pour ILS (usage de drogues et surtout importation). Cette étude, menée sur 8 mois à partir de décembre 1993, décrit cette population européenne et tente d'identifier ses besoins particuliers. Les informations proviennent des données du ministère de l'Intérieur et des interviews de détenus, ressortissants de tous les pays européens (sauf le Danemark et le Luxembourg), hommes et femmes. L'étude considère les difficultés de communication (langue étrangère), l'accès aux informations en langue d'origine, l'accès aux soins en particulier relatifs au VIH, l'accès à la représentation légale, le contact avec les proches, les possibilités de liberté conditionnelle et d'expulsion, l'accès à l'éducation et à la formation pendant la période d'incarcération. Elle précise les difficultés particulières pour les ressortissants de la République d'Irlande. Cette étude a deux objectifs : identifier et comprendre les difficultés et les besoins particuliers des détenus étrangers, et faire des propositions visant à améliorer les services offerts, y compris la mise en place d'un réseau trans-européen d'orientation et de soutien.
Les européens connaissent une mobilité trans-frontalière de plus en plus importante, ce qui conduit, entre autre conséquences, à une augmentation de la population européenne (non britannique) dans les prisons en Angleterre et au Pays de Galles. Parmi celle-ci, la majorité est incarcérée pour raison de violence ou pour ILS (usage de drogues et surtout importation). Cette étude, menée sur 8 mois à partir de décembre 1993, décrit cette population européenne et tente d'identifier ses besoins particuliers. Les informations proviennent des données du ministère de l'Intérieur et des interviews de détenus, ressortissants de tous les pays européens (sauf le Danemark et le Luxembourg), hommes et femmes. L'étude considère les difficultés de communication (langue étrangère), l'accès aux informations en langue d'origine, l'accès aux soins en particulier relatifs au VIH, l'accès à la représentation légale, le contact avec les proches, les possibilités de liberté conditionnelle et d'expulsion, l'accès à l'éducation et à la formation pendant la période d'incarcération. Elle précise les difficultés particulières pour les ressortissants de la République d'Irlande. Cette étude a deux objectifs : identifier et comprendre les difficultés et les besoins particuliers des détenus étrangers, et faire des propositions visant à améliorer les services offerts, y compris la mise en place d'un réseau trans-européen d'orientation et de soutien.
Affiliation :
Royaume-Uni. United Kingdom.