Titre : | Correlates of hepatitis C virus infections among injection drug users |
Titre traduit : | (Les facteurs de corrélation de l'hépatite C chez les usagers de drogues injectables.) |
Auteurs : | D. L. THOMAS ; D. VLAHOV ; L. SOLOMON ; S. COHN ; E. TAYLOR ; R. GARFEIN ; K. E. NELSON |
Type de document : | Périodique |
Année de publication : | 1995 |
Format : | 212-220 / tabl. |
Note générale : |
Medicine, 1995, 74, (4), 212-220 |
Langues: | Anglais |
Discipline : | MAL (Maladies infectieuses / Infectious diseases) |
Mots-clés : |
Thésaurus mots-clés USAGER ; INJECTION ; HEPATITE ; VIH ; FACTEUR DE RISQUE ; PREVALENCE |
Résumé : |
FRANÇAIS : Parmi les 2921 UDVIs de Baltimore qui avaient participé à une étude sur l'histoire naturelle de l'infection au VIH de février 1988 à mars 1989, 225 (109 séropositifs au VIH et 106 séronégatifs) avaient été sélectionnés pour un essai pilote sur la prévalence du VHC. L'analyse des données montre que la prévalence du VHC est plus importante chez les usagers de drogues qui sont noirs, séropositifs au VIH, qui ont une longue pratique de l'injection, à une fréquence élevée et qui se sont injectés de la cocaïne. La séropositivité au VHC survient rapidement après l'initiation à l'injection (78% le sont après 2 années de pratique de l'injection). La prévalence n'est pas liée aux facteurs socioculturels ou aux pratiques sexuelles. Certains usagers ne sont pas porteurs d'anticorps VHC, même après des années d'injection et pour certains la présence d'une infection à VHC est démontrée par la présence de l'ARN du virus dans le serum. Les bases biologiques de cette persistance virale en l'absence d'anticorps VHC ou de l'absence d'infection VHC chez les usagers chroniques ne sont pas encore connues. ENGLISH : Injection drug users are at high risk for hepatitis C virus (HCV) infection. In Baltimore, Maryland, the prevalence of anti-HCV is greater among injection drug users who are black, human immunodeficiency virus (HIV) infected, have injected longer, have injected more frequently, and have injected cocaine than among other injection drug users. HCV infection occurs quickly after the initiation of injecting illicit drugs, with 78% of study participants anti-HCV positive after 2 years of injecting. The prevalence of anti-HCV among injection drug users does not appear to be related to socioeconomic factors or sexual practices. Some injection drug users remain free of anti-HCV even after years of injecting and serologic evidence of other bloodborne pathogens. Some of these injection drug users have HCV infection, demonstrated by HCV RNA in their sera. However, the basis for viral persistence in the absence of anti-HCV and for the absence of HCV infection in long-term drug users is not known. Further studies are indicated to determine the mechanism or mechanisms for the absence of anti-HCV in persons exposed to the virus, because the biologic basis for this condi tion may elucidate the elements missing in the immune response of the majority of HCV-exposed persons who acquire persistent infection. In addition, interventions to prevent HCV infections should be applied in populations at risk for injection drug use early or before drug use begins. (Review' s abstract) |
Note de contenu : | tabl. |
Domaine : | Drogues illicites / Illicit drugs |
Refs biblio. : | 31 |
Affiliation : |
Dept Epidemiol., Johns Hopkins Univ. Sch. Hygiène Publ. Hlth, 624 N. Broadway, Baltimore, MD 21205 France. France. |
Numéro Toxibase : | 205219 |
Centre Emetteur : | 02 Coordonnateur |
Exemplaires
Disponibilité |
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aucun exemplaire |
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