Thèse, mémoire
Toxicomanie au dextropropoxyphène
(Dextropropoxyphene addiction)
Auteur(s) :
AST-FALLER, O.
Année :
1996
Langue(s) :
Français
Refs biblio. :
228
Domaine :
Drogues illicites / Illicit drugs
Discipline :
PRO (Produits, mode d'action, méthode de dépistage / Substances, action mode, screening methods)
Thésaurus mots-clés
MECANISME D'ACTION
;
MEDICAMENTS
;
ANALGESIE
;
CONSOMMATION
;
PRESCRIPTION MEDICALE
;
MESUSAGE
;
TOXICITE
;
POTENTIEL ADDICTIF
;
SURDOSE
;
INTOXICATION
;
EFFET SECONDAIRE
Note générale :
Thèse de doctorat en médecine, Fac. Med, Univ. L. Pasteur, Strasbourg, 1996, 151p.
Résumé :
FRANÇAIS :
Le dextropropoxyphène est un analgésique synthétique similaire à la méthadone, avec des effets opioïdes sur le système nerveux central. A la posologie préconisée pour soulager les douleurs légères à modérées, ses effets secondaires sont minimes. Un usage excessif peut entraîner une toxicité potentielle léthale, voire une pharmacodépendance iatrogénique, avec une servitude toxicomaniaque. Son pouvoir toxicomanogène est considéré comme moins important que celui de la codéine. La toxicomanie se rencontre surtout chez des polytoxicomanes. Les doses utilisées se situent entre 700 et 1200mg/j. Les signes cliniques d'intoxication et de sevrage sont ceux des opiacés. Des cas de décès ayant été décrits il convient d'informer les médecins sur la toxicité de ce médicament. Il serait important d'agir également sur la disponibilité d'un produit trop répandu. (D'après l'auteur)
Le dextropropoxyphène est un analgésique synthétique similaire à la méthadone, avec des effets opioïdes sur le système nerveux central. A la posologie préconisée pour soulager les douleurs légères à modérées, ses effets secondaires sont minimes. Un usage excessif peut entraîner une toxicité potentielle léthale, voire une pharmacodépendance iatrogénique, avec une servitude toxicomaniaque. Son pouvoir toxicomanogène est considéré comme moins important que celui de la codéine. La toxicomanie se rencontre surtout chez des polytoxicomanes. Les doses utilisées se situent entre 700 et 1200mg/j. Les signes cliniques d'intoxication et de sevrage sont ceux des opiacés. Des cas de décès ayant été décrits il convient d'informer les médecins sur la toxicité de ce médicament. Il serait important d'agir également sur la disponibilité d'un produit trop répandu. (D'après l'auteur)
Affiliation :
Fac. Med., Rue Kirschleger, 67000 Strasbourg
France. France.
France. France.