Titre : | Dépistage de la toxicomanie non alcoolique au volant. Etude dans plusieurs pays de l'Union Européenne et la Suisse |
Titre traduit : | (Detection of non-alcoholic drug use among drivers : study in several countries of the European Union and Switzerland) |
Auteurs : | SCHOHN-VIALLET F. |
Type de document : | Thèse, mémoire |
Année de publication : | 1996 |
Format : | 155 p. |
Note générale : |
Thése de Doctorat en médecine, N°77, Univ. L. Pasteur, 1996, 155 p. |
Langues: | Français |
Discipline : | SHS (Sciences humaines et sociales / Humanities and social sciences) |
Mots-clés : |
Thésaurus mots-clés HEROINE ; COCAINE ; CANNABIS ; MORPHINE ; AMPHETAMINES ; MEDICAMENTS ; EFFET SECONDAIRE ; DEPISTAGE ; METHODE ; FACTEUR DE RISQUE ; ABUS ; CONDUITE DE VEHICULE ; ACCIDENT ; COMPARAISONThésaurus géographique UNION EUROPEENNE |
Résumé : |
FRANÇAIS : La sécurité des transports est devenue, en Europe, une importante question de santé publique (50 000 morts par an sur les routes). Or 20 à 25% de la population adulte de certains pays de l'Union Européenne absorbent régulièrement des médicaments compromettant l'aptitude à conduire. Cette étude a mis en évidence une quasi absence de dispositions spécifiques concernant les médicaments et surtout les substances illicites. Le coût important de la recherche et du dosage de substances multiples, apparaît comme un frein au développement de ces dépistages. Dans le cadre du système contrôle-sanction, c'est la police qui détermine la nécessité d'un examen, mais les troubles du comportement sur lesquels elle s'appuie pour détecter l'usage éventuel d'une substance psychoactive sont mal définis. Par ailleurs, durant la durée de validité du permis de conduire, les conducteurs échappent à tout contrôle systématique. Enfin dans aucun pays il n'y a d'obligation légale pour le médecin de famille d'informer les autorités sur la consommation de substances de leur patient. Il est prouvé que l'association de facteurs de risque multiplie la fréquence des accidents, le niveau d'alcoolémie admis en présence d'un cofacteur comme le médicament devrait être reconsidéré. Un système de mise en garde efficace, contre les risques potentiels de conduite sous l'effet de ces substances, à l'usage des médecins et de leurs patients devrait être mis en place. L'industrie pharmaceutique pourrait contribuer à une meilleure prévention en testant les effets des nouveaux psychotropes sur la vigilance. |
Texte n° : | N°77 |
Domaine : | Drogues illicites / Illicit drugs |
Refs biblio. : | 37 |
Affiliation : | France. France. |
Numéro Toxibase : | 803195 |
Centre Emetteur : | 08 CAS Strasbourg |
Exemplaires
Disponibilité |
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aucun exemplaire |
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