Périodique
Substance abuse and past incest contact
(Toxicomanie et rapport incestueux antérieur)
Auteur(s) :
N. M. GLOVER ;
T. P. JANIKOWSKI ;
J. J. BENSHOFF
Refs biblio. :
33
Domaine :
Drogues illicites / Illicit drugs
Langue(s) :
Anglais
Note générale :
Journal of Substance Abuse Treatment, 1996, 13, (3), 185-193
Résumé :
FRANÇAIS :
Une étude menée sur 732 volontaires issus de 35 centres de traitement tente de cerner les relations entre la toxicomanie (drogue, alcool) et une histoire d'inceste; les cas d'inceste apparaissant plus importants chez les toxicomanes que dans la population en général. 36,3 % du panel reconnaissent des relations incestueuses (29 % d'hommes, 55 % de femmes). Ils éprouvent plus de difficultés à se sentir bien et à s'aimer eux-mêmes que les autres participants, dépendent bien souvent à la fois de la drogue et de l'alcool et ont tendance à garder leur inceste secret même vis-à-vis de l'équipe soignante. La toxicomanie étant souvent une façon d'oublier l'inceste, il semble nécessaire d'aborder ce traumatisme lors du traitement pour éviter toute rechute ultérieure. La relation toxicomanie et inceste est cependant encore mal définie
ENGLISH :
Seven hundred thirty-two volunteer participants enrolled in 35 substance abuse treatment facilities across the United States were surveyed to examine the prevalence and nature of incest contacts among adults receiving substance abuse treatment. Results indicated that approximately 36% of the sample reported histories of incest ; by gender, 29% of the male and 55% of the female participants reported incest histories. Data are presented regarding the age during incest contact, frequency of contacts, and involvement of force, alcohol, and drugs. In addition, comparisons between incest and nonincest groups of participants are presented. Implications for substance abuse treatment facilities and staff are presented. (Authors' abstract)
Une étude menée sur 732 volontaires issus de 35 centres de traitement tente de cerner les relations entre la toxicomanie (drogue, alcool) et une histoire d'inceste; les cas d'inceste apparaissant plus importants chez les toxicomanes que dans la population en général. 36,3 % du panel reconnaissent des relations incestueuses (29 % d'hommes, 55 % de femmes). Ils éprouvent plus de difficultés à se sentir bien et à s'aimer eux-mêmes que les autres participants, dépendent bien souvent à la fois de la drogue et de l'alcool et ont tendance à garder leur inceste secret même vis-à-vis de l'équipe soignante. La toxicomanie étant souvent une façon d'oublier l'inceste, il semble nécessaire d'aborder ce traumatisme lors du traitement pour éviter toute rechute ultérieure. La relation toxicomanie et inceste est cependant encore mal définie
ENGLISH :
Seven hundred thirty-two volunteer participants enrolled in 35 substance abuse treatment facilities across the United States were surveyed to examine the prevalence and nature of incest contacts among adults receiving substance abuse treatment. Results indicated that approximately 36% of the sample reported histories of incest ; by gender, 29% of the male and 55% of the female participants reported incest histories. Data are presented regarding the age during incest contact, frequency of contacts, and involvement of force, alcohol, and drugs. In addition, comparisons between incest and nonincest groups of participants are presented. Implications for substance abuse treatment facilities and staff are presented. (Authors' abstract)
Affiliation :
Etats-Unis. United States.
Exemplaires
Disponibilité |
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aucun exemplaire |