Périodique
Harmful use of psychotropic substances by schizophrenics: coincidence, patterns of use and motivation
(Usage nocif de psychotropes chez les schizophrènes : coïncidence, types d'usage et motivation)
Auteur(s) :
KRAUSZ, M. ;
HAASEN, C. ;
MASS R. ;
WAGNER, H. B. ;
PETER, H. ;
FREYBERGER H. J.
Année :
1996
Langue(s) :
Anglais
ISBN :
1022-6877
Refs biblio. :
35
Domaine :
Drogues illicites / Illicit drugs
Thésaurus mots-clés
ALCOOL
;
TROUBLE BIPOLAIRE
;
CANNABIS
;
PSYCHOSE
;
PSYCHIATRIE
;
AUTOMEDICATION
;
EFFET SECONDAIRE
;
TRAITEMENT
;
RECHERCHE
;
STRUCTURE DE LA PERSONNALITE
;
SCHIZOPHRENIE
;
COMORBIDITE
;
PREVALENCE
Note générale :
Eur. Addiction Res., 1996, 2, 11-16
Résumé :
FRANÇAIS :
Cette étude s'appuie sur des recherches conduites à l'Hôpital Psychiatrique Universitaire de Hambourg, sur des patients souffrant de troubles mentaux. Le but est de montrer qu'une partie non négligeable de cette population souffre de toubles liés à une toxicomanie. Celle-ci est souvent non détectée ou négligée pour des raisons diverses rappelées ici brièvement. Il semble difficile de répertorier exactement quelle substance est consommée. Mais, en Europe, c'est surtout le cannabis et l'alcool qui sont en cause (les autres substances sont plus marginales). L'alcool chez le schizophrène est consommé pour réduire les tensions et créer un effet euphorique. Il est perçu comme un produit bénéfique ; aucune relation n'est faite entre l'alcool et une aggravation de certains symptômes psychotiques. Cette étude fait apparaître une corrélation évidente entre la schizophrènie et le choix d'un produit. La quantité ingérée semble inférieure que dans les cas de toxicomanie pure, de même que les effets somatiques sont moindres.
Cette étude s'appuie sur des recherches conduites à l'Hôpital Psychiatrique Universitaire de Hambourg, sur des patients souffrant de troubles mentaux. Le but est de montrer qu'une partie non négligeable de cette population souffre de toubles liés à une toxicomanie. Celle-ci est souvent non détectée ou négligée pour des raisons diverses rappelées ici brièvement. Il semble difficile de répertorier exactement quelle substance est consommée. Mais, en Europe, c'est surtout le cannabis et l'alcool qui sont en cause (les autres substances sont plus marginales). L'alcool chez le schizophrène est consommé pour réduire les tensions et créer un effet euphorique. Il est perçu comme un produit bénéfique ; aucune relation n'est faite entre l'alcool et une aggravation de certains symptômes psychotiques. Cette étude fait apparaître une corrélation évidente entre la schizophrènie et le choix d'un produit. La quantité ingérée semble inférieure que dans les cas de toxicomanie pure, de même que les effets somatiques sont moindres.
Affiliation :
Psychiat. Nervenklinik, Univ. Krankenhaus Eppendorf (UKE), Hamburg
Allemagne. Germany.
Allemagne. Germany.