Titre : | Drug Treatment : Explaining the gender paradox |
Titre traduit : | (Traitement de la drogue : Expliquer le paradoxe des sexes) |
Auteurs : | R. FIORENTINE ; M. D. ANGLIN ; V. GIL-RIVAS ; E. TAYLOR |
Type de document : | Périodique |
Année de publication : | 1997 |
ISBN/ISSN/EAN : | 1082-6084 |
Note générale : |
Substance use & misuse, 1997, 32, (6), 653-678 |
Langues: | Anglais |
Discipline : | TRA (Traitement et prise en charge / Treatment and care) |
Mots-clés : |
Thésaurus mots-clés TRAITEMENT ; SEXE FEMININ ; RECHUTE ; TRAITEMENT AMBULATOIRE ; HOPITAL DE JOUR ; FACTEUR DE RISQUE ; THERAPIE DE GROUPE ; REPRESENTATION SOCIALE ; SEXE |
Résumé : |
FRANÇAIS : Il apparait que les femmes, lors d'un traitement, ont plus de facteurs de risques associés à la rechute que les hommes. Une étude longitudinale a été réalisée sur 330 femmes et hommes participant à un traitement en service hospitalier ambulatoire (projet Los Angeles Target Cities). La gravité de la drogue utilisée et le support social n'ont pas de conséquence, mais le taux d'intérêt à se faire traiter semble agir. Les femmes participent plus à la thérapie de groupe, abaissant ainsi leur taux de rechute. Des analyses complémentaires indiquent que la garde d'enfant, les différences entre sexe ou la supériorité des services du projet ne sont pas la cause d'une participation plus fréquente des femmes à la thérapie de groupe. Les différences d'intérêt à se faire traiter entre homme et femme résultent peut-être des normes différentes régissant les sexes, notamment pour la recherche d'aide, l'indépendance personnelle, la puissance et le contrôle. Ces résultats ont des implications en matière de traitement et de ligne de conduite. (à partir du résumé d'auteur) ENGLISH : Research indicates that women possess more "risk factors" associated with drug use relapse than men. This involve a longitudinal study of 330 women and men participating in outpatient drug-user treatment (Los Angeles Target Cities Project). The findings offer no support for the drug severity and social support hypotheses, but some support for the treatment engagement hypothesis. Women participate more in groupe counseling which lowers their rate of relapse. Further analyses indicate that the greater participation of women in group counseling does not stem from child-custody or other gender differences in the reasons for entering treatment, nor does it result from the enhanced services associated with the project. The differnces in treatment engagement for women and men may result from gender norms concerning help-seeking, personal independance, strength, and control. The treatment and policy implication of these findings and recommendations for further research are discussed. (From the Authors' abstract) |
Domaine : | Drogues illicites / Illicit drugs |
Refs biblio. : | 57 |
Affiliation : |
UCLA Drug Abuse Res. Ctr, Neuropsychiat. Inst., Univ. California, Los Angeles, Los Angeles, CA 90024 Etats-Unis. United States. |
Numéro Toxibase : | 402396 |
Centre Emetteur : | 04 CIRDD-51 |
Exemplaires
Disponibilité |
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aucun exemplaire |
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