Article de Périodique
High rates of drug use, but low rates of HIV risk behaviours among injecting drug users during incarceration in Dutch prisons (1998)
(Taux d'usage de drogue élevés, et faibles taux de comportements à risque VIH parmi les usagers de drogues injectables au cours de leur incarcération dans les prisons hollandaises)
Auteur(s) :
VAN HAASTRECHT, H. J. A. ;
BAX, J. S. ;
VAN DEN HOEK, A. A. R.
Année :
1998
Langue(s) :
Anglais
Refs biblio. :
36
Domaine :
Drogues illicites / Illicit drugs
Discipline :
EPI (Epidémiologie / Epidemiology)
Thésaurus mots-clés
PRISON
;
INCARCERATION
;
CONDUITE A RISQUE
;
VIH
;
INJECTION
;
SEXUALITE
;
CONSOMMATION
;
RECHUTE
;
EPIDEMIOLOGIE
Thésaurus géographique
PAYS-BAS
Note générale :
Addiction, 1998, 93, (9), 1417-1425
Résumé :
FRANÇAIS :
Cette étude portait sur 463 usagers de drogue par injection (UDI). 188 avaient fait un séjour en prison au cours des trois années précédentes. 55 % des sujets ont rapporté un usage de cannabis durant l'incarcération, 37 % un usage d'héroïne et 20 % une consommation de cocaïne. Cinq UDI (3%) ont reconnu s'être injectés en prison, mais aucun n'a rapporté le partage de seringues ou d'aiguilles. Des relations sexuelles ont été rapportées par 2 hommes et aucune femme. Contrairement aux résultats des autres pays, on note de faibles niveaux de comportements à risque VIH chez les UDI incarcérés en Hollande. Cependant 78 des 186 participants, soit 42% ont déclaré avoir rechuté et s'être injectés durant la semaine suivant leur sortie de prison, pour la plupart le jour même de leur sortie.
ENGLISH :
A period of imprisonment in the preceding 3 years was reported by 188 of the 463 interviewed drug injectors of this study. Any use of cannabis, heroin or cocaine during imprisonment was reported by 55%, 37% and 20%, respectively. Five injectors (3%) admitted to having injected in prison, but no sharing of needles and syringes was reported. Vaginal or anal sex was reported by two (1 %) of the men and none of the women. Contrary to findings from other countries, low levels of HIV risk behaviours occur among imprisoned drug injectors in The Netherlands. Nevertheless, relapse to drug injecting during the week following release from prison was reported by 78/186 (42%) participants, in most cases at the very first day of release. (From authors' abstract)
Cette étude portait sur 463 usagers de drogue par injection (UDI). 188 avaient fait un séjour en prison au cours des trois années précédentes. 55 % des sujets ont rapporté un usage de cannabis durant l'incarcération, 37 % un usage d'héroïne et 20 % une consommation de cocaïne. Cinq UDI (3%) ont reconnu s'être injectés en prison, mais aucun n'a rapporté le partage de seringues ou d'aiguilles. Des relations sexuelles ont été rapportées par 2 hommes et aucune femme. Contrairement aux résultats des autres pays, on note de faibles niveaux de comportements à risque VIH chez les UDI incarcérés en Hollande. Cependant 78 des 186 participants, soit 42% ont déclaré avoir rechuté et s'être injectés durant la semaine suivant leur sortie de prison, pour la plupart le jour même de leur sortie.
ENGLISH :
A period of imprisonment in the preceding 3 years was reported by 188 of the 463 interviewed drug injectors of this study. Any use of cannabis, heroin or cocaine during imprisonment was reported by 55%, 37% and 20%, respectively. Five injectors (3%) admitted to having injected in prison, but no sharing of needles and syringes was reported. Vaginal or anal sex was reported by two (1 %) of the men and none of the women. Contrary to findings from other countries, low levels of HIV risk behaviours occur among imprisoned drug injectors in The Netherlands. Nevertheless, relapse to drug injecting during the week following release from prison was reported by 78/186 (42%) participants, in most cases at the very first day of release. (From authors' abstract)
Affiliation :
Municipal Hlth Serv., Dept Publ. Hlth and Environm., Nieuwe Achtergracht 100, 1018 WT Amsterdam
Pays-Bas. Netherlands.
Pays-Bas. Netherlands.