Titre : | Can syringe exchange serve as a conduit to substance abuse treatment? (1998) |
Titre traduit : | (L'échange de seringues peut-il mener au traitement d'abus de substance?) |
Auteurs : | R. HEIMER |
Type de document : | Article : Périodique |
Dans : | Journal of Substance Abuse Treatment (Vol.15, n°3, May-June 1998) |
Note générale : |
Journal of Substance Abuse Treatment, 1998, 15, (3), 183-191 |
Langues: | Anglais |
Discipline : | PRE (Prévention - RdRD / Prevention - Harm reduction) |
Mots-clés : |
Thésaurus mots-clés DEMANDE ; TRAITEMENT ; ECHANGE DE SERINGUES |
Résumé : |
FRANÇAIS : Le programme d'échange de seringues (PES) de New Haven a été autorisé en 1990. En 1992, un coordinateur des demandes de traitement lui était ajouté. Cet article analyse les données recueillies par le coordinateur de 1992 à 1994. Il apparaît que la majorité des demandeurs de traitement n'utilise pas le PES pour obtenir des seringues stériles, qu'ils sont surtout des femmes et peu souvent des blancs. L'echec de leur entrée en traitement peut être dû au temps d'attente, à une mauvaise couverture sociale, à la consommation de cocaïne ou à une demande initiale de désintoxication. En février 1994, une initiative de la sécurité sociale exclue le PES d'une liste des centres habilités aux entrées en traitement, pour le réintégrer en septembre 1994 : après leur déclin, les demandes n'ont pas vraiment réaugmenté. Ainsi bien que le PES soit efficace pour mener au traitement d'abus de substance, cet avantage peut être gacher suite à des restrictions bureaucratique. ENGLISH : To determine how the city-run New Haven syringe exchange program (SEP) expedited requests for entry into treatment, records of the SEP's drug treatment coordinator were analyzed. During the study period, a majority of those requesting treatment did not use the SEP to obtain sterile syringes. Comparisons between the people requesting treatment and those exchanging syringes revealed that those requesting treatment were more likely female and less likely White. Factors associated with failure to enter treatment included long lag times, worse insurance, cocaine use, and requesting primary detoxification only. Majorities of the requests, appointments, and entries came from individuals whose treatment was to be paid through city welfare. A managed care initiative from the city welfare department, which excluded the SEP, halved requests and entries. Subsequent addition of the SEP to the initiative did not significantly increase requests or entries. Although the SEP initially acted as a conduit to treatment, its effectiveness was curtailed by the imposition of bureaucratic restrictions. (Author's abstract) |
Domaine : | Drogues illicites / Illicit drugs |
Refs biblio. : | 25 |
Affiliation : |
Dept Epidem. Publ. Hlth, Yale Univ. Sch. Med., 60 College St, New Haven, CT 06520-8034 Etats-Unis. United States. |
Numéro Toxibase : | 402739 |
Centre Emetteur : | 04 CIRDD-51 |
Accueil