Titre : | Relationship between HIV-1 viral load and continued drug use in untreated infected injection drug users |
Titre traduit : | (Relation entre la charge virale VIH-1 et la poursuite d'un usage de drogues chez des usagers de drogues contaminés et non traités.) |
Auteurs : | M. P. CARRIERI ; TAMALET C. ; D. VLAHOV ; YAHI N. ; CHESNEY M. ; J. P. MOATTI |
Type de document : | Périodique |
Année de publication : | 1999 |
Format : | 197-202 |
Note générale : |
Addiction Biology, 1999, 4, (2), 197-202 |
Langues: | Anglais |
Discipline : | MAL (Maladies infectieuses / Infectious diseases) |
Mots-clés : |
Thésaurus mots-clés HEROINE ; INJECTION ; SEROPOSITIVITE ; VIH ; EVOLUTION ; CONSOMMATION ; DUREE |
Résumé : |
FRANÇAIS : Le but de l'étude est de vérifier si un usage continu de drogues peut influer sur la charge virale plasmatique, les résultats étant explorés en prenant pour variable principale les taux de CD4+. Les données sont issues de la cohorte d'UDVIs contaminés par le VIH-1 participant à l'étude Manif 2000 (octobre 1995-octobre1996) : 108 patients suivis en ambulatoire depuis au moins deux ans, mais ne recevant pas de traitement antiviral. Les patients niant un usage récent d'injection d'héroïne ont été contrôlés par un test sérologique de dépistage de morphine. Une différence de 0,35 log de la charge virale a été observée entre les usagers actifs et les ex-usagers, la difference étant d'autant plus grande que la durée d'usage est de 10 ans ou plus (0,6 log). Après ajustement par rapport à la numération CD4+, la durée du traitement ou le nombre d'année depuis le diagnostic VIH, les résultats demeurent identiques. Un usage continu de morphine ou d'héroïne injectable a un impact significatif mais limité sur la charge virale plasmatique VIH seulement chez les patients ayant un long passé d'usage de drogues. ENGLISH : The role of continued drug use in development of AIDS has been investigated, using mainly CD4+ cells as outcome variable. The objective of this study was to verify whether continued drug use can influence HIV-1 plasma viral load. We used cross-sectional enrolment data of the HIV-infected IDUs cohort study Manif 2000 (October 1995-October 1996), recruiting patients in hospital departments of Marseilles, Nice and Paris suburbs. To minimize biases due to dif ferential access to health care, only patients receiving outpatient care for at least 2 years but with no antiretroviral treatment were selected for analysis (n = 108). Available information regarding clinical and laboratory information from medical records and clinical examination as well as drug use anti HIV-related risk practices were obtained by a face-to-face and a self-administered questionnaire. Patients denying recent heroin injection were cross-validated by a serological assay to detect morphine. Forty-two patients (39%) reported recent heroin injection; among those denying recent use (n = 66), eight (positive for serum morphine assay were re-classified as IDUs. A difference 0.35 log in viral load was observed between active and ex-IDUs which increases (0.6 log, p = 0.03) in those who have been using drugs for 10 years of more. This result persisted when adjusted for CD4+ counts, clinical stage or years since diagnosis. Continued drug use may have a significant but limited impact on HIV viral load only in patients with a longer history of drug use. Consequences of persisting drug use on long-term progression to AIDS has to be investigated further. (Author' s abstract) |
Domaine : | Drogues illicites / Illicit drugs |
Refs biblio. : | 34 |
Affiliation : |
ORS, Fac. Med., Ave Valombrose, 06107 Nice cedex France. France. |
Numéro Toxibase : | 204854 |
Centre Emetteur : | 02 Coordonnateur |
Exemplaires
Disponibilité |
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aucun exemplaire |
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