Titre : | Allocating livers to substance and alcohol misusers |
Titre traduit : | (Attributions de greffes de foies à des usagers abusifs d'alcool ou de drogues.) |
Auteurs : | NEUBERGER J. |
Type de document : | Périodique |
Année de publication : | 1999 |
Format : | 385-390 |
Note générale : |
Addiction Biology, 1999, 4, (4), 385-390 |
Langues: | Anglais |
Discipline : | SHS (Sciences humaines et sociales / Humanities and social sciences) |
Mots-clés : |
Thésaurus mots-clés FOIE ; GREFFE ; ETHIQUE ; USAGER ; ALCOOL ; PSYCHOTROPES ; OPINIONThésaurus géographique ROYAUME-UNI |
Résumé : |
FRANÇAIS : Les transplantations hépatiques chez patients atteints de troubles hépatiques sévères sont devenues un traitement efficace et très demandé, mais limité en raison du manque de greffons disponibles. Dans ce contexte de pénurie, l'attribution d'une greffe à des patients dont l'atteinte hépatique découle d'une consommation excessive ou illégale d'alcool ou de drogues est actuellement très controversée au Royaume-Uni. La principale question soulevée est l'abstinence des patients après la greffe. Les études chez les patients alcooliques montrent que peu d'entre eux rechutent (les marqueurs de l'abstinence sont bien établis) et qu'il n'y a pas de différence dans le résultat de la transplantation entre ces patients et ceux transplantés pour une autre raison. Le cas des patients toxicomanes n'a pratiquement pas été étudié. Les patients alcooliques et toxicomanes sont considérés comme étant moins prioritaires par le grand public que les patients nécessitant une transplantation pour d'autres causes. Opinion qui peut être différente du point de vue des cliniciens qui s'attachent plus aux résultats de la transplantation qu'aux origines des troubles hépatiques. Ces considérations éthiques sont discutées, les conclusions proposent des critères précis d'eventuelle exclusion de certains patients pour une transplantation. ENGLISH : The success of liver transplantation for the treatment of patients with end-stage liver disease has resulted in a widening gap between the number of potential recipients and the numbers of grafts available. Allocation of these scarce resources to people who have developed liver failure as a consequence of their own and often illegal behaviour has attracted much controversy. For patients with alcoholic liver disease, there is relatively little evidence that many patients return to a damaging pattern of alcohol consumption and, at least in the short term, the outcome is no different compared with patients grafted for other causes of cirrhosis. There are well-validated markers which predict abstinence. For abusers of other substances, there is relatively little experience. Of concern is the variation between the priority-setting by the medical profession and the general public. The latter, who, in the UK, can be considered as providers of the donated organs and pay for the costs of the procedure, tend to rate patients with alcoholic liver disease and who have drug or substance abuse at a lower priority than those who develop liver failure from other causes. These differences need further debate and resolution. (Author' s abstract) |
Domaine : | Plusieurs produits / Several products |
Refs biblio. : | 22 |
Affiliation : |
Liver Unit, Queen Elisabeth Hosp., Birmingham Royaume-Uni. United Kingdom. |
Numéro Toxibase : | 204894 |
Centre Emetteur : | 02 Coordonnateur |
Exemplaires
Disponibilité |
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aucun exemplaire |
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