Titre : | A review of recent findings on substance abuse treatment for pregnant women |
Titre traduit : | (Une revue des données récentes concernant le traitement de l'abus de drogues chez les femmes enceintes) |
Auteurs : | E. M. HOWELL ; HEISER N. ; M. HARRINGTON |
Type de document : | Périodique |
Année de publication : | 1999 |
Format : | 195-219 / tabl. |
Note générale : |
Journal of Substance Abuse Treatment, 1999, 16, (3), 195-219 |
Langues: | Anglais |
Discipline : | TRA (Traitement et prise en charge / Treatment and care) |
Mots-clés : |
Thésaurus mots-clés SEXE FEMININ ; GROSSESSE ; TRAITEMENT ; BESOIN ; ABUS ; ADAPTATION ; PROGRAMME ; PAUVRETE ; VIOLENCE ; RELATION MERE ENFANT ; SANTE ; NOUVEAU-NE ; EVALUATION ; EFFICACITE ; RETENTIONThésaurus géographique ETATS-UNIS |
Résumé : |
FRANÇAIS : Lintérêt pour les besoins en traitement des femmes enceintes toxicomanes s'est accru ces dernières années. Cet article passe en revue la littérature sur le sujet et propose un panorama des connaissances concernant : la prévalence de labus de substances pendant la grossesse ; les facteurs conduisant les femmes, et tout particulièrement les femmes enceintes, à abuser des substances psychoactives ainsi que les facteurs qui facilitent ou empêchent le succès des traitements ; enfin, les caractéristiques des programmes de traitement efficaces. On sait que la prévalence de lusage prénatal de drogues illicites est denviron 5% pour l'ensemble des femmes enceintes au niveau national, avec des taux qui peuvent être plus élevés chez certains sous-groupes. Des études locales ont révélé des taux bien plus élevés. Labus de substance est associé à la pauvreté, à labus de substances chez des personnes importantes dans la vie des femmes, et à la violence familiale. Le profil des naissances est moins positif chez les femmes abusant de drogues pendant la période périnatale. Les conséquences négatives pour le nouveau-né persistent après la naissance : lenvironnement familial peut être chaotique et les enfants sont souvent soustraits au soin de leur mère si celle-ci continue à abuser des drogues après la naissance. Alors quil existe une littérature abondante sur la prévalence, les corrélations et les résultats de labus de substances périnatal, les études concernant les approches de traitement efficaces restent rares. La taille des échantillons est réduite et il existe peu détudes portant sur des groupes vraiment comparables. Le petit nombre détudes d'évaluation que nous avons examiné suggère que, comme le montre plus largement la littérature portant sur dautres populations, le succès des traitements (mesuré en terme dabstinence) est associé à la rétention. La rétention est facilitée par lapport de services de soutien, comme les soins aux enfants, les cours dispensés aux parents pour les aider à élever leurs enfants, et la formation professionnelle. Il nexiste pas de base empirique claire permettant de conclure quun type de traitement (par exemple, résidentiel) est plus efficace quun autre. ENGLISH : Recent years have brought an increased interest in the treatment needs of pregnant substance abusers. This article reviews the literature on this subject, providing an overview of what is known about the prevalence of substance abuse during pregnancy; the factors in women's lives, especially pregnant women, that lead to substance abuse and that facilitate and impede treatment success; and the components of successful treatment programs. The prevalence of prenatal illicit drug use is known to be about 5% of all pregnant women nationwide, with higher rates for selected subgroups. Local studies have shown much higher rates. Substance abuse is associated with poverty, with the substance abuse of significant others, and with family violence. Perinatal substance abusers experience poorer birth outcomes. The negative consequences for babies do not stop at birth; home environments may be chaotic and often children are removed from their mother's care if substance abuse continues after birth. While the literature on prevalence, correlates, and outcomes of perinatal substance abuse is plentiful, there continues to be sparse information on successful treatment approaches. Sample sizes are small and there are few studies with adequate comparison groups. The small number of outcome studies we review suggest that, as with the broader treatment literature for other populations, success (as measured by abstinence) is associated with retention. Retention is facilitated by the provision of support services, such as child care, parenting classes, and vocational training. There is no clear empirical basis for concluding that one type of treatment (for example, residential treatment) is more effective than another. (Editor' s abstract) |
Note de contenu : | tabl. |
Domaine : | Drogues illicites / Illicit drugs |
Refs biblio. : | 129 |
Affiliation : |
Mathematica Policy Res., Inc., Suite 550, 600 Maryland Ave, SW, Washington, DC 20024-2512 Etats-Unis. United States. |
Numéro Toxibase : | 403158 |
Centre Emetteur : | 04 CIRDD-51 |
Exemplaires
Disponibilité |
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aucun exemplaire |
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