Titre : | Injecting drug use amongst inmates in Greek prisons |
Titre traduit : | (L'injection de drogues parmi les détenus dans les prisons grecques) |
Auteurs : | G. KOULIERAKIS ; D. AGRAFIOTIS ; C. GNARDELLIS ; K. G. POWER |
Type de document : | Périodique |
Année de publication : | 1999 |
Format : | 193-212 / tabl. |
Note générale : |
Addiction Research, 1999, 7, (3), 193-212 |
Langues: | Anglais |
Discipline : | EPI (Epidémiologie / Epidemiology) |
Mots-clés : |
Thésaurus mots-clés USAGER ; PRISON ; VIH ; VOIE INTRAVEINEUSE ; INJECTION ; ETUDE TRANSVERSALEThésaurus géographique GRECE |
Résumé : |
FRANÇAIS :
L'article présente une étude transversale comparative portant sur l'usage de drogues par voie intraveineuse par des détenus de sexe masculin dans des prisons en Grèce (étude menée à l'échelle nationale), en prenant en compte les variables démographiques et pénales. Un échantillon de 1000 détenus a été selectionné dans 10 institutions et 861 questionnaires ont servi de base à l'étude. 33,6 % des détenus ont déclaré pratiquer l'injection de drogues, dont 60 % ont pratiqué l'injection durant leur incarcération, et 50,3 % ayant alors partagé leur matériel. Les détenus concernés étaient principalement âgés de 25 à 34 ans. La plupart était incarcéré suite à des infractions à la législation sur les stupéfiants ou à des cambriolages. Tous étaient multirécidivistes et totalisaient un temps considérable passé en prison. Les détenus pratiquant l'injection avaient davantage que les autres ("non-injecteurs") fait des tests de dépistage du VIH. Quant aux comportements sexuels au cours des douze mois précédant leur incarcération, les usagers par voie intraveineuse ont rapporté davantage de relations avec des partenaires femmes différentes , autres que leur épouse ou partenaire régulière. Les auteurs s'interrogent sur le fait de savoir pourquoi, alors que la pratique de l'usage de drogues par voie intraveineuse semble relativement moins importante en Grèce comparativement aux pays européens, les chiffres sont toutefois du même ordre en ce qui concerne l'injection en prison. ENGLISH : We present a national cross sectional comparative study of injecting drug use amongst male inmates in Greek prisons in relation to demographic and penal variables. A representative sample of 1,000 inmates were randomly selected front ten correctional institutions. 861 questionnaires were included in the analysis. 290 inmates (33.6%) reported injecting drugs, of whom 174 (60%) had injected while in prison, and 146 (50.3%) had shared sometime while in prison. Inmate injectors were predominately aged 25 to 34 years; they were incarcerated mostly due to drug offences (54.7%) and offences against property (30.5%); they were characterised by a multiplicity of previous sentences and a long duration of total time in prison. Most of the injectors had been convicted for drug offences in the past. Injectors, compared to non-injectors, were more likely to have had an HIV blood test. Regarding, their sexual behaviour during the twelve months prior to imprisonment, injectors were more likely to have multiple female sexual partners - other than their wives or regular partners. Results are discussed, in the European context in particular, in relation to the apparent relatively low level of injecting drug use among the Greek population in general yet similar rates of injecting drug use among inmates as in other European countries. (Author' s abstract) |
Note de contenu : | tabl. |
Domaine : | Drogues illicites / Illicit drugs |
Refs biblio. : | 32 |
Affiliation : |
Dept. Sociology, National Sch. Public Health, 196 Alexandras Ave., GR, 115 21, Athens, agraf@compulink.gr Grèce. Greece. |
Numéro Toxibase : | 900834 |
Centre Emetteur : | 09 AMPT |
Exemplaires
Disponibilité |
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aucun exemplaire |
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