Titre : | Heroin sniffing as self-regulation among injecting and non-injecting heroin users |
Titre traduit : | (Sniff d'héroïne, un processus d'autorégulation chez les consommateurs d'héroïne par voie injectable ou non injectable) |
Auteurs : | SOTHERAN J. L. ; D. S. GOLDSMITH ; BLASCO M. ; S. R. FRIEDMAN |
Type de document : | Périodique |
Année de publication : | 1999 |
Format : | 401-421 / tabl. |
Note générale : |
Journal of Drug Issues, 1999, 29, (2), 401-421 |
Langues: | Anglais |
Discipline : | SHS (Sciences humaines et sociales / Humanities and social sciences) |
Mots-clés : |
Thésaurus mots-clés HEROINE ; INHALATION ; ENQUETE ; ENTRETIEN ; VOIE INTRAVEINEUSE ; EVOLUTION ; COMPORTEMENT ; USAGERThésaurus géographique ETATS-UNIS |
Résumé : |
FRANÇAIS : Cet article analyse le sniff comme voie d'administration chez trois groupes de consommateurs d'héroïne : ceux qui n'ont jamais pratiqué d'injection, ceux qui la pratiquent encore et ceux qui l'ont abandonnée. Des entretiens à propos de leur histoire personnelle ont été menés en 1994 avec 26 personnes pratiquant le sniff mais non l'injection, recrutés dans des lieux de drogue de rue, en corrélation avec une enquête permanente sur les comportements à risque et la séroprévalence chez des usagers de drogues par voie injectable. S'y sont ajoutés des entretiens d'enquête et de brefs questionnaires à questions ouvertes avec 23 personnes combinant l'injection et le sniff d'héroïne, appartenant à un autre groupe de l'étude et recrutés dans un centre de désintoxication. Le sniff d'héroïne n'est pas seulement un bref prélude à la pratique de l'injection, il peut continuer sur de longues périodes et perdurer pendant et après les périodes d'injection. Chaque groupe d'usagers étudiés utilise le sniff d'héroïne pour réguler les différents risques perçus : la tolérance à l'héroïne et les dépenses financières (chez ceux qui n'ont jamais pratiqué l'injection), les risques situationnels (chez les pratiquants actuels), et les crises personnelles (chez les anciens pratiquants). Ces résultats montrent l'importance des facteurs personnels, au-delà de la disponibilité des seringues ou de la crainte du VIH, dans le mode de consommation de l'héroïne. ENGLISH : This paper examines sniffing as a mode of administration among three subbgroups who sniff heroin : those who had never injected, those who were also injecting, and those who had ceased injection. Modified life-history interviews were conducted in 1994 with 26 people currently sniffing but not injecting, recruited in street-based settings in conjunction with an ongoing study of risk behavior and seroprevalence among drug injectors. These were supplemented by survey interviews and brief open-ended interviews with 23 people who combined heroin injecting with heroin sniffing, recruited from a parallel component of the ongoing study, based at a hospital detoxification ward. Not merely a brief precursor to heroin injecting, heroin sniffing can continue for long periods, and persist during and after periods of injection. Each subgroup uses heroin sniffing to regulate different perceived risks : heroin tolerance and financial expenditure (among those who have never injected), situational risks (among current injectors), and personal crises (among former injectors). These findings suggest the importance of personal factors over syringe availability or fear of HIV in use of modes of heroin administration. (Author's abstract.) |
Note de contenu : | tabl. |
Domaine : | Drogues illicites / Illicit drugs |
Refs biblio. : | 35 |
Affiliation : |
Natl Dev. Res. Inst., Inc., Two World Trade Ctr, New-York, NY 10048 Etats-Unis. United States. |
Numéro Toxibase : | 504907 |
Centre Emetteur : | 05 Marmottan |
Exemplaires
Disponibilité |
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aucun exemplaire |
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