Périodique
Prevalence of family violence in clients entering substance abuse treatment
(Prévalence de la violence familiale chez des patients entrant en traitement pour un problème de toxicomanie ou d'alcoolisme)
Auteur(s) :
EASTON C. J. ;
S. SWAN ;
R. SINHA
Article en page(s) :
23-28
Refs biblio. :
23
Domaine :
Plusieurs produits / Several products
Langue(s) :
Anglais
Thésaurus mots-clés
VIOLENCE
;
FAMILLE
;
PREVALENCE
;
TRAUMATISME
;
ENFANT
;
ADAPTATION
;
TRAITEMENT
;
EFFICACITE
Note générale :
Journal of Substance Abuse Treatment, 2000, 18, 23-28
Note de contenu :
tabl.
Résumé :
FRANÇAIS :
Chez cent-cinq patients les problèmes liés à lusage de drogues et les problèmes de violence familiale ont été évalués à l'aide d'un questionnaire sur la violence familiale. 37% des patients interrogés ont connu la violence dans leur milieu familial, 22% dentre eux étaient des victimes adultes, 14% avaient souffert de mauvais traitements lorsquils étaient enfants, et 18% ont déclaré user de la violence physique. Il y avait des corrélations positives importantes entre ces différents sous-types de violence familiale. Daprès leurs déclarations, les patients toxicomanes les plus âgés ont plus souvent été impliqués dans ce genre de violence. Les résultats ont montré que les patients toxicomanes ayant des antécédents de violence familiale (SAFV+) ont participé à plus de séances de thérapie individuelle que les patients toxicomanes nayant pas ces antécédents (SAFV-). Les SAFV+ ont obtenus des scores plus élevés que les SAFV- sur le Michigan Alcoholism Screening Test et Beck Depression Inventory (BDI). Les SAFV+ ont aussi obtenu un plus grand nombre de contrôles urinaires positifs à la cocaïne durant les 2 mois détude. De plus, les patients toxicomanes qui ont connu la violence alors quil étaient enfants ont participé à plus de séances de thérapie individuelle que les patients toxicomanes nayant pas ces antécédents. Le groupe de ceux qui ont connu la violence alors quils étaient enfants a obtenu des scores bien plus élevés sur le BDI. Ces résultats montrent quil est important de déterminer ce genre dantécédents chez des personnes qui entrent en thérapie, car ils peuvent avoir une influence significative sur lissue du traitement.
ENGLISH :
The present study evaluated 105 clients who were assessed for substance-related problems and a history of domestic violence. A brief survey on family violence examined whether clients were adult victims, childhood victims, and/or perpetrators of physical violence. Results indicated that 37% of the sample reported that they experienced a family history of physical violence. A total of 22% reported being an adult victim of physical violence, 14% reported being a victim of childhood abuse, and 18% reported being a perpetrator of physical violence. There was a significant positive correlation between subtypes of family violence. Substance-using clients who were older reported more incidences of family violence. Results showed that substance-using clients with a history of family violence (SAFV +) tended to have more individual therapy sessions attended than substance-using clients without a history of family violence (SAFV -). The SAFV + group was different from the SAFV- group in that they had significantly higher scores on the Michigan Alcoholism Screening Test and the Beck Depression Inventory (BDI) scores. The SAFV+ group also had significantly more self-reported and positive urine screens for cocaine use within the 2-month monitoring period. Additionally, substance-using clients with a history of childhood trauma had significantly more individual therapy sessions attended than clients without a history of childhood trauma. The group with a history of childhood trauma had significantly higher scores on the BDI Findings indicate the importance of assessing family history of violence in substance abusers entering treatment, as this may have significant implications for treatment outcome. (Editor's abstract.)
Chez cent-cinq patients les problèmes liés à lusage de drogues et les problèmes de violence familiale ont été évalués à l'aide d'un questionnaire sur la violence familiale. 37% des patients interrogés ont connu la violence dans leur milieu familial, 22% dentre eux étaient des victimes adultes, 14% avaient souffert de mauvais traitements lorsquils étaient enfants, et 18% ont déclaré user de la violence physique. Il y avait des corrélations positives importantes entre ces différents sous-types de violence familiale. Daprès leurs déclarations, les patients toxicomanes les plus âgés ont plus souvent été impliqués dans ce genre de violence. Les résultats ont montré que les patients toxicomanes ayant des antécédents de violence familiale (SAFV+) ont participé à plus de séances de thérapie individuelle que les patients toxicomanes nayant pas ces antécédents (SAFV-). Les SAFV+ ont obtenus des scores plus élevés que les SAFV- sur le Michigan Alcoholism Screening Test et Beck Depression Inventory (BDI). Les SAFV+ ont aussi obtenu un plus grand nombre de contrôles urinaires positifs à la cocaïne durant les 2 mois détude. De plus, les patients toxicomanes qui ont connu la violence alors quil étaient enfants ont participé à plus de séances de thérapie individuelle que les patients toxicomanes nayant pas ces antécédents. Le groupe de ceux qui ont connu la violence alors quils étaient enfants a obtenu des scores bien plus élevés sur le BDI. Ces résultats montrent quil est important de déterminer ce genre dantécédents chez des personnes qui entrent en thérapie, car ils peuvent avoir une influence significative sur lissue du traitement.
ENGLISH :
The present study evaluated 105 clients who were assessed for substance-related problems and a history of domestic violence. A brief survey on family violence examined whether clients were adult victims, childhood victims, and/or perpetrators of physical violence. Results indicated that 37% of the sample reported that they experienced a family history of physical violence. A total of 22% reported being an adult victim of physical violence, 14% reported being a victim of childhood abuse, and 18% reported being a perpetrator of physical violence. There was a significant positive correlation between subtypes of family violence. Substance-using clients who were older reported more incidences of family violence. Results showed that substance-using clients with a history of family violence (SAFV +) tended to have more individual therapy sessions attended than substance-using clients without a history of family violence (SAFV -). The SAFV + group was different from the SAFV- group in that they had significantly higher scores on the Michigan Alcoholism Screening Test and the Beck Depression Inventory (BDI) scores. The SAFV+ group also had significantly more self-reported and positive urine screens for cocaine use within the 2-month monitoring period. Additionally, substance-using clients with a history of childhood trauma had significantly more individual therapy sessions attended than clients without a history of childhood trauma. The group with a history of childhood trauma had significantly higher scores on the BDI Findings indicate the importance of assessing family history of violence in substance abusers entering treatment, as this may have significant implications for treatment outcome. (Editor's abstract.)
Affiliation :
Dept Psychiat., Yale Univ. Sch. Med., SATU, Box 18, 1 Long Wharf, New Haven, CT 06511
Etats-Unis. United States.
Etats-Unis. United States.
Exemplaires
Disponibilité |
---|
aucun exemplaire |