Titre : | Hardcore drug users claim to be occasional users : drug use frequency underreporting |
Titre traduit : | (Sous estimation de la fréquence de l'usage de drogues : les toxicomanes lourds prétendent être des usagers occasionnels) |
Auteurs : | A. R. MORRAL ; D. McCAFFREY ; M. Y. IGUCHI |
Type de document : | Périodique |
Année de publication : | 2000 |
Format : | 193-202 / tabl. |
Note générale : |
Drug and Alcohol Dependence, 2000, 57, (3), 193-202 |
Langues: | Anglais |
Discipline : | EPI (Epidémiologie / Epidemiology) |
Mots-clés : |
Thésaurus mots-clés HEROINE ; COCAINE ; CONSOMMATION ; USAGE OCCASIONNEL ; USAGE REGULIER ; TRAITEMENT DE MAINTENANCE ; DEPISTAGE ; EVALUATION |
Résumé : |
FRANÇAIS : Les déclarations des usagers de drogues concernant la fréquence de leur consommation sont très utilisés, en particulier pour évaluer les besoins en traitement et les résultats des traitements suivis. Néanmoins, il existe peu de données sur la validité de ces rapports. Dans cette étude, les auteurs ont vérifié lexactitude de 701 rapports de fréquence faits par des patients en maintenance à la méthadone en comparant les taux danalyses durines positives trouvés pour chaque cas avec les taux qui auraient été trouvés si lusage de drogue navait été que celui rapporté. Cette procédure révèle que la fréquence de consommation dhéroïne et de cocaïne est fortement sous-estimée par les sujets. Après ajustement de cette fréquence, 51% des 279 cas rapportant seulement un usage occasionnel dhéroïne (1 à 10 jours par mois), et 22% des 157 cas rapportant un usage occasionnel de cocaïne, se révèlent être des usagers de drogues avec des fréquences que lOffice de Politique Nationale de contrôle de la drogue définit comme fortes (plus de 10 jours par mois). La sous-déclaration de la fréquence dusage de drogues semble importante, et peut constituer une sérieuse remise en cause de la validité de certaines évaluations fondées sur les consommations auto-rapportées par les patients toxicomanes. ENGLISH : Self-reports of drug use frequency are central to treatment outcome evaluations, estimates of the prevalence of heavy use, estimates of treatment need, and other questions with direct relevance to drug policies. Nevertheless, surprisingly little is known about the validity of these self-reports. This study examines the accuracy of 701 frequency self-reports made by a sample of' methadone maintenance clients. Self-report accuracy is evaluated by comparing rates of positive urinalyses found for each case with rates that would be expected had drug use occurred only as often as reported. Expected rates of positive urinalyses are derived from conservative Monte Carlo models of drug use for each case. This procedure reveals extensive heroin and cocaine use frequency underreporting. After adjusting for frequency underreporting, 51% , of 279 cases reporting only occasional heroin use (1-10 days in the past 30), and 22% of the 157 cases reporting occasional cocaine use, are found to be using these drugs with frequencies corresponding to what the Office of National Drug Control Policy defines as 'hardcore use' (more than 10 days in the past 30). Drug use frequency underreporting appears substantial, and might constitute an important threat to the validity of some treatment outcome evaluations needs assessments and other analyses that rely on drug use frequency self-reports. (Author's abstract.) |
Note de contenu : | tabl. |
Domaine : | Drogues illicites / Illicit drugs |
Refs biblio. : | 23 |
Affiliation : |
Drug Policy Res. Ctr, RAND, 1700 Main St, Santa Monica, CA 90407 Etats-Unis. United States. |
Numéro Toxibase : | 803073 |
Centre Emetteur : | 08 CAS Strasbourg |
Exemplaires
Disponibilité |
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aucun exemplaire |
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