Titre : | Treatment of dually diagnosed clients |
Titre traduit : | (Traitement des patients à double diagnostic) |
Auteurs : | J. LITTLE |
Type de document : | Périodique |
Année de publication : | 2001 |
Format : | 27-31 |
Note générale : |
Journal of Psychoactive Drugs, 2001, 33, (1), 27-31
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Langues: | Anglais |
Discipline : | PSY (Psychopathologie / Psychopathology) |
Mots-clés : |
Thésaurus mots-clés TRAITEMENT ; COMORBIDITE ; REDUCTION DES RISQUES ET DES DOMMAGES ; MODELE ; RELATION THERAPEUTIQUEThésaurus géographique ETATS-UNIS |
Résumé : |
FRANÇAIS :
Jusqu'à 80 % des gens souffrant de troubles mentaux et émotionnels ont fait ou feront, à un moment ou à un autre de leur vie, un usage abusif de l'alcool ou des drogues revendues dans la rue. De la même façon, à un moment ou à un autre, plus de la moitié des gens souffrant de troubles liés à l'usage de drogues présentent aussi des troubles mentaux. Dans les populations cliniques et les milieux institutionnels, ces chiffres sont bien plus élevés. Le terme « diagnostic double » (coexistence de troubles mentaux et de troubles associés à la prise de drogues) se rapporte à un groupe de sujets vaste et complexe. Cet article aborde les problèmes généraux concernant les complexités du diagnostic double-différentiel, la difficulté de parvenir à l'abstinence pour les sujets dont la prise de drogues est synonyme de bénéfices significatifs, et les problèmes dus au clivage historique entre les systèmes thérapeutiques traitant les troubles mentaux et ceux traitant l'abus de drogues. Le principe de réduction des effets nuisibles, une approche qui insiste sur les dommages causés par les drogues ou l'alcool sans exiger des usagers qu'ils s'abstiennent de toute substance psychoactive, peut être utile pour conceptualiser le traitement du diagnostic double. Cet article fait la description d'un groupe de traitement spécifiquement conçu pour des sujets présentant un diagnostic double. Inspiré de l'idée que l'évolution des conduites addictives survient par pallier et que la motivation des patients peut être influencée par la qualité relationnelle entre le soignant et le soigné, ce groupe utilise une structure d'inclusion permettant un accès facile au traitement de soutien, une façon de se mettre « à la portée » du sujet. ENGLISH: Up to 80% of people with mental and emotional disorders have abused or will abuse street drugs or alcohol at some point in their lives. Similarly, over half of people with substance use disorders are also diagnosed with a mental disorder at some point. In clinical populations and institutional settings, the numbers are far higher. The term dual diagnosis (coexisting mental and substance use disorders) refers to a large and complex group of people. This article addresses general issues regarding the complexities of dual diagnosis--differential diagnosis, the difficulty of achieving abstinence for people who perceive significant benefits from drug use, and the problems due to the historical split between the mental health and substance abuse treatment systems. Harm reduction, an approach to treating drug-using clients that focuses on the damage done by drugs and alcohol without insisting on abstinence from all psychoactive substances, can offer a useful way of conceptualizing treatment of dual diagnosis. A treatment group specifically designed for dually diagnosed clients is described. This group, inspired by the idea that changes in addictive behavior occur in a series of stages and that motivation can be influenced by the quality of the relationship with the treatment provider, uses a drop-in structure to provide low-threshold access to supportive treatment, to meet clients "where they are." (Review's abstract.) |
Domaine : | Drogues illicites / Illicit drugs |
Affiliation : |
423 Gough St, San Francisco, CA 94102 Etats-Unis. United States. |
Numéro Toxibase : | 102124 |
Centre Emetteur : | 01 Pey Berland |
Exemplaires
Disponibilité |
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aucun exemplaire |
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