Périodique
Usage criminel de substances psycho-actives : le problème de la durée de détection
(Crime under influence of psycho-active drugs: how to enhance the window of detection?)
Auteur(s) :
P. KINTZ ;
M. VILLAIN ;
V. CIRIMELE ;
J. P. GOULLÉ ;
B. LUDES
Article en page(s) :
24-30
Refs biblio. :
14
Domaine :
Drogues illicites / Illicit drugs
Langue(s) :
Français
Discipline :
PRO (Produits, mode d'action, méthode de dépistage / Substances, action mode, screening methods)
Thésaurus mots-clés
MEDECINE LEGALE
;
DEPISTAGE
;
METHODE
;
TOXICOLOGIE
;
ANALYSE CHIMIQUE
;
BENZODIAZEPINES
;
URINE
;
GHB
;
SUEUR
;
ALCOOL
;
METABOLITE
Note générale :
Acta Clinica Belgica, 2002, 57, (Suppl. 1), 24-30
Note de contenu :
graph. ; tabl.
Résumé :
FRANÇAIS :
De façon cyclique, la presse écrite met en garde ses lecteurs face à l'effet délétère de la consommation de substances psycho-actives, qu'elles soient ajoutées à leur insu (soumission chimique) ou consommées de façon récréative. Ces produits sont soit des médicaments détournés de leur usage (flunitrazépam, GHB), soit des stupéfiants (cannabis, ecstasy, LSD) ou encore, plus simplement de l'alcool éthylique. La médecine légale peut se retrouver impliquée dans la caractérisation de l'usage de ces substances dans les circonstances suivantes : soumission chimique, crime/délit sous influence, empoisonnement, recherche des causes de la mort, troubles psychiques... Dans certaines conditions, l'expert en toxicologie peut voir sa tâche rendue difficile par des prélèvements tardifs. A partir de 3 exemples concrets, les auteurs proposent des solutions originales pour augmenter la fenêtre de détection des xénobiotiques : 1. Choix d'un matériel analytique ultra-sensible, la spectrométrie de masse tandem (GC/MS/MS/NCI) pour le 7-aminoflunitrazépam ; 2. Choix d'un milieu biologique d'accumulation, la sueur pour le GHB et 3. Choix d'un métabolite à demi-vie longue, l'éthyl glucuronide pour l'éthanol. (Résumé d'auteur)
De façon cyclique, la presse écrite met en garde ses lecteurs face à l'effet délétère de la consommation de substances psycho-actives, qu'elles soient ajoutées à leur insu (soumission chimique) ou consommées de façon récréative. Ces produits sont soit des médicaments détournés de leur usage (flunitrazépam, GHB), soit des stupéfiants (cannabis, ecstasy, LSD) ou encore, plus simplement de l'alcool éthylique. La médecine légale peut se retrouver impliquée dans la caractérisation de l'usage de ces substances dans les circonstances suivantes : soumission chimique, crime/délit sous influence, empoisonnement, recherche des causes de la mort, troubles psychiques... Dans certaines conditions, l'expert en toxicologie peut voir sa tâche rendue difficile par des prélèvements tardifs. A partir de 3 exemples concrets, les auteurs proposent des solutions originales pour augmenter la fenêtre de détection des xénobiotiques : 1. Choix d'un matériel analytique ultra-sensible, la spectrométrie de masse tandem (GC/MS/MS/NCI) pour le 7-aminoflunitrazépam ; 2. Choix d'un milieu biologique d'accumulation, la sueur pour le GHB et 3. Choix d'un métabolite à demi-vie longue, l'éthyl glucuronide pour l'éthanol. (Résumé d'auteur)
Affiliation :
Insitut de Médecine Légale, 11 rue Humann, 67000 Strasbourg
France. France.
France. France.
Exemplaires
Disponibilité |
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