Titre : | VHC et toxicomanie : l'indispensable prise de conscience n'a pas eu lieu |
Titre traduit : | (HCV and drug addiction: the essential awakening didn't take place) |
Auteurs : | L. DARMON |
Type de document : | Périodique |
Année de publication : | 2005 |
Format : | 16-18 / ill. |
Note générale : |
Journal du Sida (Le), 2005, (179), 16-18 |
Langues: | Français |
Discipline : | MAL (Maladies infectieuses / Infectious diseases) |
Mots-clés : |
Thésaurus mots-clés VIH ; HEPATITE ; ACCES AUX SOINS ; VOIE INTRAVEINEUSE ; ECHANGE DE SERINGUES ; CONTAMINATION ; REDUCTION DES RISQUES ET DES DOMMAGES |
Résumé : |
FRANÇAIS : D'année en année, c'est toujours la même distorsion qui saute aux yeux. D'un côté, les usagers de drogue par voie intraveineuse (UDVI), sensibilisés aux programmes d'échange de seringues, sont devenus extrêmement minoritaires dans les statistiques VIH (2 % des nouvelles infections). De l'autre, ils n'en finissent pas de se contaminer par le virus de l'hépatite C (VHC) : sur les 5 000 nouvelles personnes touchées chaque année, 70 % sont des toxicomanes (1). Si 20 % d'entre eux guérissent spontanément de l'infection, 80 % s'orientent vers une hépatite C chronique, qui aboutit dans 20 % des cas à une cirrhose. Il existe pourtant des outils de réduction des risques, des traitements efficaces, des structures spécialisées dans l'accueil et le suivi des toxicomanes et un cadre légal puisque la France s'est dotée de deux plans successifs de lutte contre l'hépatite C. Qu'est-ce qui fait donc obstacle à contenir l'épidémie de VHC parmi les toxicomanes ? (Extrait du document.) |
Note de contenu : | ill. |
Domaine : | Drogues illicites / Illicit drugs |
Affiliation : | France. France. |
Numéro Toxibase : | 1101394 |
Centre Emetteur : | 11 SEDAP |
Exemplaires
Disponibilité |
---|
aucun exemplaire |
Accueil