Titre : | Drug treatment outcomes : investigating the long-term effects of sexual and physical abuse histories |
Titre traduit : | (Evaluation des effets à long terme des abus sexuels et physiques sur les résultats du traitement) |
Auteurs : | R. FIORENTINE ; M. L. PILATI ; M. P. HILLHOUSE |
Type de document : | Périodique |
Année de publication : | 1999 |
Format : | 363-372 / tabl. |
Note générale : |
Journal of Psychoactive Drugs, 1999, 31, (4), 363-372 |
Langues: | Anglais |
Discipline : | TRA (Traitement et prise en charge / Treatment and care) |
Mots-clés : |
Thésaurus mots-clés ABUS SEXUEL ; TRAITEMENT ; EVALUATION ; PERVERSION ; SEXUALITE ; VIOLENCE |
Résumé : |
FRANÇAIS :
Dans le cadre des traitements de la toxicomanie, les patients et particulièrement les femmes, font souvent état dun passé lourd de violences physiques et sexuelles. Si ce vécu de violences est associé à une prévalence et une intensité plus fortes des dépressions, des angoisses, des phobies et des difficultés relationnelles chez les individus cherchant à traiter leur abus de drogues, plusieurs études récentes nont cependant pas permis de montrer quun tel vécu compromettait les résultats à court terme des traitements de la toxicomanie. Le présent article examine léventuel impact des violences physiques et sexuelles sur le comportement du patient dans un large éventail de domaines, et ce sur une période postthérapeutique de deux ans. Que ce soit en terme dusage de drogues, de traitement de la toxicomanie ou de participation au programme en 12 étapes, ou sur le plan de la criminalité, des sources de revenus, des relations privées, de la vie familiale ou des symptômes psychiatriques, les résultats de létude indiquent peu de différences entre les patients ayant subi ou non des violences. Il existe des exceptions spécifiques mais qui ne concernent que les hommes. Globalement, les résultats montrent que les violences physiques et sexuelles ont un impact minime sur lévolution du traitement sur une période relativement longue. Dun point de vue humain, il peut sembler justifié daborder le problème des violences vécues par les patients cherchant à traiter leur abus de drogues, mais cela naméliorera pas, de manière significative, lefficacité à long terme du traitement, ni ne leur permettra dêtre réellement stimulés dans leur vie quotidienne. ENGLISH : Individuals in drug treatment, particularly women, generally report high levels of past sexual and physical abuse. Although histories of sexual and physical abuse are associated with greater prevalence and severity of depression, anxiety, phobias, and interpersonal difficulties for individuals seeking substance-related treatment, several recent studies failed to show that prior sexual or physical abuse compromised short-term drug treatment outcomes. This study examined the possible effects of sexual and physical abuse on a wide array of behavioral domains over a two-year posttreatment period. The findings indicate few differences between those with and without past histories of such abuse in terms of drug use, drug treatment and 12-Step program participation, criminality, income sources, intimate relationships, family functioning, and psychiatric symptoms. There are specific exceptions, but they apply only to men. Overall, the findings indicate that the impact of sexual and physical abuse histories on relatively long-term treatment outcomes is minimal. Addressing the sexual and physical abuse histories of those seeking treatment for drug abuse may be justified on humanistic grounds, but it will not significantly improve the long-term effectiveness of drug treatment, nor will it substantially enhance the lives of those with histories of abuse. (Author's abstract.) |
Note de contenu : | tabl. |
Domaine : | Drogues illicites / Illicit drugs |
Refs biblio. : | 78 |
Affiliation : |
UCLA Drug Abuse Res. Ctr, 1640 S. Sepulveda Blvd, Los Angeles, CA 90025 Etats-Unis. United States. |
Numéro Toxibase : | 101966 |
Centre Emetteur : | 01 Pey Berland |
Exemplaires
Disponibilité |
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aucun exemplaire |
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